Histoire

C'est dans les années 80, que le Black Out ouvre ses portes pour la première fois, alors fréquenté par une clientèle extrêmement sélective. Tenu d'une main de maître par la famille Raffaeli. Le club ne tarde pas à se faire une réputation bien au-delà des frontières new-yorkaises, mais il ne survit pas à la mort de son propriétaire et à l'arrivée de Marion Marshall, en 2017. Il change donc de mains durant deux ans et demi, jusqu'à ce qu'un successeur des Raffaeli ne reprenne le contrôle. Le 23 mai 2020, de violents attentats secouent Brooklyn, et Vincenzo Raffaeli profite de l'affolement général pour se réapproprier le sommet de La Barre. En juin, le Black Out rouvre ses portes, plus puissant que jamais. S'il s'agit de l'affaire familiale par excellence, les portes sont ouvertes à tous les volontaires désireux de s'y perdre.

Déjà présent.es.

- Slavenko Kovacs - Homme de main, officiellement videur et service d'ordre.

Hors-jeu

Holà, merci à toi d'avoir pris le temps de t'intéresser à ces pré-liens.
Ils sont pour toi si tu n'as pas peur des feels et des dramas, si tu aimes attirer des ennuis à tes personnages et jouer avec le feu.

Les avatars et pseudonymes sont tous libres, à l'exception bien-sûr des membres de la famille Raffaeli qui se doivent de conserver cet honorable patronyme. La liste des rôles proposés n'est pas exhaustive, et toutes les propositions sont envisageables, qu'il s'agisse d'employés, d'alliés ou d'ennemis.  

Cette famille originaire de Sicile est implantée à New-York depuis plusieurs générations. Elle n'a pourtant jamais oublié ses racines, et la ville de Palerme accueille encore nombre de ses membres.

Ce sont eux qui, depuis l'origine, tiennent les rênes de cet empire. A présent qu'ils en ont repris le contrôle, tous ont juré de ne plus faiblir. A leur tête, Vincenzo Raffaeli (PNJ), âgé d'une cinquantaine d'années, règne en maître sur tout ce beau monde, sans que jamais son autorité soit remise en cause. Il évolue dans l'ombre, déléguant sans mal les responsabilités aux autres membres de la famille, auxquels il accorde son entière confiance. Si vous avez un jour affaire à lui en personne, c'est que l'heure est grave.

Le Black Out ne saurait se prétendre temple de la luxure sans avoir à offrir de la chair en pâture aux clients affamés. On distingue les simples danseur.se.s de ceux dont le corps est à vendre au bracelet de satin noir qui ceint leurs poignets. Chaque personne qui vend ses charmes en porte nécessairement un, il leur garantit également la protection des Raffaeli. Ici, nul n'abîme la marchandise sans en payer le prix. Certain.e.s auront trouvé ainsi le moyen le plus rentable de financer leurs études, d'autres affirmeront que rien ne leur plaît tant que les plaisirs de la chair, et d'autres encore n'ont simplement pas eu d'autre choix que celui de venir ainsi éponger leurs dettes, ou celles de leurs proches.

Tous les employés du Black Out ne sont pas amenés à vendre leurs charmes, et les danseur.se.s qui évoluent en ces lieux ont parfois le privilège de ne faire que danser. Les différentes salles du club sont parsemées de podiums sur lesquels se hissent des danseur.se.s au talent indiscutables, et si votre portefeuille vous le permet, peut-être aurez-vous l'honneur de vous offrir une danse privative dans l'un des nombreux salons particuliers.

Il est, bien entendu, possible d'interpréter un personnage autre que ceux proposés ci-dessous.

Parce qu'un empire pareil a besoin de monde pour tourner, il compte également autant de gros bras que de petites mains. Le Black Out emploie, entre autres, des mercenaires, des agents de sécurités, des videurs, des dealeurs, des serveurs, des barmaids, des managers, des rabatteurs, des transporteurs, des informateurs, etc. Ce sont tous les autres, qu'ils soient sous les feux des projecteurs ou qu'ils évoluent dans l'ombre, qu'ils se salissent les mains ou confient le sale boulot aux autres. Tous ceux sans qui rien de tout cela ne pourrait exister.