Hold me tight || Slavina

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:: Ecumer les bas fonds de Brooklyn :: East New-York :: Habitations :: The Hole

Hold me tight || Slavina

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Messages : 616

Date de naissance : 05/08/1995

Occupation : Cambrioleuse, elle fait également office de petites mains pour la Bratva

Localisation : Anciennement à The Hole, récemment transférée à Glenmore Plaza.

Nina Sykes

A smile made for war

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Jeu 20 Aoû - 16:50

Hold me tight

22 août ; 03h44

Slavenko parti, je suis allée acheter de quoi changer la serrure de mon appartement, et y ajouter un verrou. En revanche, impossible de joindre le concierge pour avoir des informations sur l'électricité, il faudra donc que j'attends encore je ne sais combien de temps avant que cette histoire soit réglée. Mais j'avais de toute façon d'autres choses à faire, notamment parler à Youri, pour lui demander une entrevue entre Slavenko et Margherita. Et tandis qu'il m'a promis de s'en occuper, on m'a envoyée jouer les livreuses aux quatre coins de la ville.

Je n'ai heureusement pas eu d'ennuis, mais je suis épuisée lorsque j'arrive chez le slave. A cette heure, je n'ai pas de mal à me faire discrète, et je ne crois pas avoir été repérée lorsque j'arrive au cinquième étage. Je referme précautionneusement derrière moi, et je me permets d'investir les lieux pour une douche, chaude, puisque je ne peux la prendre chez moi. Une fois de plus, je me savonne avec son gel douche, et le simple fait de me couvrir de son odeur me file des frissons jusque dans le bas-ventre. J'enfile un string en dentelle noire, et j'éteins les lumières pour me glisser sous ses draps, les cheveux encore trempés et la peau humide. Mais c'est égal, parce que son odeur est partout, parce que ce sont ses draps, son lit, son oreiller, sa chaleur que je crois sentir partout autour de moi lorsque je sombre. Je somnole, d'un sommeil extrêmement léger, parce que je sais qu'il va rentrer, dans quelques heures, et je serais incapable de dormir tout à fait sans l'avoir d'abord embrassé.

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Date de naissance : 12/04/1982

Occupation : Agent de sécurité au Black Out

Localisation : The Hole ou au Black Out

Orientation sexuelle : Bisexuel

Slavenko Kovács

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Jeu 20 Aoû - 19:27

Il est presque six heures trente quand je rentre chez moi, l'heure habituelle quand je bosse. Mes douze heures de taf ne consistent pas qu'à faire videur au Black out et souvent, la moitié de la nuit sert à d'autres activités au service des italiens, comme ce jour où j'ai croisé Nina en plein cambriolage. Pour un fois, je suis impatient de rentrer et la nuit me parait longue moi qui adore habituellement vivre les heures nocturnes. Je suis encore ébahi de la tournure des choses entre Nina et moi quand je pensais sincèrement tout espoir perdu. Et cette fille me rend complètement taré, il suffit que je pense à elle pour être dans tous mes états, je n'imagine pas comment j'aurais pu l'oublier. J'étais d'ailleurs le premier étonné de m'excuser, je ne le fais pour ainsi dire jamais.

Je rentre sans faire de bruit, pour ne pas la réveiller et je me déchausse près de l'entrée. Je ne pense pas qu'elle aurait pu me faire faux bond, je sais déjà à la vibration de mes nerfs qu'elle est là, dans mon espace. Je me déshabille en silence, laissant mes fringues dégueulasses en tas. On a fait une intervention musclée sur les docks et je pue le gasoil et la bombe de gaz, le tout mêlé à la sueur. Quand je passe près du lit, je distingue la forme de Nina et j'hésite mais je me force à passer outre l'appel de son corps pour aller prendre une douche rapide. Ce serait dommage d'agresser son odorat. Je crois que je n'ai jamais fait aussi vite pour prendre une douche froide et me laver cheveux et corps compris. Je me sèche rapidement avant de venir la rejoindre dans le lit, collant mon corps humide et froid au sien, tout chaud et moelleux. Ma bouche trouve illico le chemin de son cou, mes mains celui de ses fesses habillées d'un bout de dentelle qui instantanément m'enflamme comme une résistance inutile.

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Nina Sykes

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Jeu 20 Aoû - 19:51

Je suis à l'affût, dès que j'entends le bruit de la porte d'entrée. Ma gorge se noue inexplicablement, mon ventre se serre d'un noeud brûlant et douloureux comme si j'avais quinze ans et que je vivais mon premier amour. Je vous jure, j'en ai des papillons dans le bide, des frissons dans la nuque, et la chaleur qui se diffuse partout sous ma peau me laisse surprise. Je resserre ma prise sur les draps, et bien-sûr je ronge mon frein quand il file à la douche. Il aurait pu venir là, moite de sueur que ça ne m'aurait pas éloignée de lui pour autant. Les yeux clos, j'écoute les bruits de l'eau, en retenant presque mon souffle, jusqu'à ce qu'il en sorte.

Il me rejoint sous les draps, et si je tremble d'un long frisson, ce n'est pas uniquement parce que sa peau est glacée. Il est nu contre moi, et je frémis de sentir le contact de sa peau contre la mienne. Son odeur m'enveloppe aussitôt, et je gémis en relevant la tête pour chercher sa bouche. Je ne dors plus du tout, et je cherche sa langue avec fébrilité, y nouant la mienne dans un baiser qui, déjà, me coupe le souffle. Je voudrais savoir rester plus fière et ménager mon orgueil, mais je ne peux m'empêcher de susurrer contre sa bouche. Slavenko... Tu m'as manqué... Tant que je travaillais, ça allait, mais ça fait trois heures que je suis ici toute seule, à me saouler de son odeur qui sature l'appartement, à me languir du goût de sa peau. Je plonge une main dans ses cheveux, l'autre entre nous, et elle s'enroule naturellement autour de sa queue en un geste caressant.

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Date de naissance : 12/04/1982

Occupation : Agent de sécurité au Black Out

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Orientation sexuelle : Bisexuel

Slavenko Kovács

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Jeu 20 Aoû - 21:20

Je suis rentré directement des docks en prenant un taxi pour revenir plus vite auprès d'elle. D'habitude je prends les premiers bus ou je marche, mais l'impatience était trop présente à la savoir chez moi. Et l'accueil est au delà de toutes mes espérances. Je me serais contenté de me coucher près de ma belle endormie. Mais là... !!! Ses mots et son baiser m'électrisent, dressent ma queue entre ses doigts habiles. J'ai un hoquet entre surprise et plaisir, alors que le plaisir irradie dans ma colonne vertébrale. Je gronde tout bas d'approbation, la voix aussi tendue que ma queue "Jebote, Nina"

Je lâche ses fesses à regrets pour laisser courir ma main sur son ventre, ses seins, jusqu'à sa gorge tendre, soulevant son menton vers moi pour un langoureux baiser. Très rapidement, le désir est insoutenable, elle est trop coude, trop chaude et je suis dur dans sa main, j'écarte sa culotte d'un geste brusque pour qu'elle me guide en elle où je me loge d'une poussée franche. Une nouvelle fois nos corps s'accordent sur ce tempo rapide que j'affectionne, et qui me fait grave monter dans les tours. Je n'étouffe aucun de mes cris d'extase, gutturaux, rauque, qui la proclame à moi dans le plaisir. Quand je jouis, je me pousse une dernière fois brutalement au fond d'elle comme pour être sur de la déclarer mienne par cet acte rude.

Ce n'est qu'après que je l'embrasse encore plus passionnément, le désir de possession comme décuplé par le fait d'avoir baisé, ce qui est assez paradoxal. Mon corps cherche encore doucement le sien, et je l'enlace férocement pour la ramener dans mon giron.

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Jeu 20 Aoû - 21:50

Sa queue enfle, instantanément, entre mes doigts fins, et je geins de plaisir à cette sensation exquise. Ma peau frémit sous sa paume, ma bouche mord la sienne quand il vient à ma rencontre, et je remonte ma jambe haut sur sa hanche pour lui libérer l'accès. Il repousse ma culotte et je le guide entre mes cuisses d'un mouvement bref, fluide, qui le pousse aussitôt au creux de mon ventre. Ma main désormais libre s'accroche à son épaule, et je l'attire à moi dans un gémissement de plaisir brut. Ses mouvements son secs, puissants, ils ne me laissent aucun répit et moi j'en redemande, accrochée à ses lèvres que je malmène. Je suis trop excitée pour ne pas jouir en même temps que lui, dans un spasme qui me crispe toute entière.

Je m'enfouis aussitôt contre son torse, dans le même geste qu'il a pour me ramener contre lui, et lentement, instinctivement, je démarre mon inspection. Je réalise que j'ai eu peur, tandis qu'il était dehors, que les choses se passent mal avec les italiens. Alors mes mains errent sur sa peau, en quête de nouvelles blessures qu'heureusement je ne trouve pas. Je palpe doucement sa chair, revient lentement vers son visage que j'encadre de mes mains pour l'embrasser encore. Je répète son prénom, comme pour lui donner de la réalité. Slavenko... Je bascule sur le dos, l'entraîne dans le mouvement, pour sentir le poids rassurant de son corps sur le mien. C'était sans compter la grimace engendrée par mes côtes qui soudain se rappellent à moi.

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Date de naissance : 12/04/1982

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Slavenko Kovács

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Jeu 20 Aoû - 22:16

Elle a une façon de me toucher après le sexe qui me rend complètement fou d'elle. C'est une explosion d'amour dans mon bide, ma poitrine, mon cœur qui bat la chamade sourdement. C'est si fort que ça fait délicieusement mal. Ma langue ne cesse de s'emmêler à la sienne, je grogne à chaque fois qu'elle prononce mon prénom et je la bouffe de baisers. Mon poids sur elle est lourd, et j'adore la sentir alanguie sous moi. Comme elle tressaille, je me fais plus léger en m'appuyant sur les mains, m'écartant un peu pour la laisser respirer. "doucement srce...on sait pas si t'as des côtes pétées." Je ne crois pas, mais à mon avis l'une est fêlée ou bien amochée. Je caresse son flanc amoureusement comme si ça pouvait la guérir.

Mon nez se pose sur son ventre que je hume. Ça sent nous, c'est bon. Je veux son odeur partout sur moi et dans mes draps et je veux mon odeur partout sur elle. J'ai noté qu'elle avait aimé que je la touche encore après l'amour et c'est naturellement que je cède à mon envie de venir la parcourir de baisers. Je la dégage de mon poids pour venir fourrer ma tête entre ses cuisses écartées. Lentement, du bout des doigts, je touche les chairs mouillées de notre étreinte et je trouve ça émouvant de sentir le plaisir consommé. Elle est chaude de nous, de nos ébats, de ma queue qui s'est enfoncée en elle, de mon sperme qui la remplit. Je trouve ça merveilleux et poétique, j'y peux rien, j'ai la poésie lascive, faut croire.

Alors que mes doigts la découvrent avec douceur, du bout de la langue, je l'effleure pour la goûter avec un soupir de contentement. Je suis bien là, enfoui dans son sexe avec ses mains qui s'accrochent dans mes cheveux. Je ronronne avec une voix de gros tigre gentil "tu veux encore srce ?"

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Jeu 20 Aoû - 22:29

Je ne songe pas que mes gestes, mes caresses possessives, pourraient le déranger, le gêner qu'il pourrait me repousser. Non, s'il veut que je sois à lui, il doit me laisser m'approprier sa peau comme il le fait de la mienne. J'ai besoin de savoir qu'il va bien, j'ai besoin de le toucher, de le humer, de le caresser et de l'apprendre par cœur, encore et encore. Je le sens frémir chaque fois que je l'appelle, alors je le fais encore. Contre ses lèvres que je mange, je susurre des "Slavenko" qui meurent en soupirs sur sa bouche. Je me fiche bien, moi, d'avoir des côtes cassées ou non, je veux le poids et la chaleur de son corps sur le mien, c'est tout.

Je suis occupée à dévorer méthodiquement sa bouche, aussi je gronde mon désaccord quand il s'arrache à moi. Mais mes protestations s'essoufflent bien vite, je ne peux pas lutter quand il serpente ainsi sur ma peau pour se perdre entre mes cuisses. Je suis terriblement sensible après l'amour, il pourrait me faire jouir d'un souffle, me faire crier d'une caresse. Je perds ma main dans ses cheveux, replie un bras pour passer l'autre derrière ma tête alors que je me tends vers lui. Oui, oui, encore, s'il te plaît... Encore. Je ne sais pas comment un tel miracle est possible, mais il suffit qu'il me frôle pour qu'aussitôt je ne sois plus rassasiée, pour que mon désir de lui renaisse, inlassablement. Et comme pour encourager ses gestes, j'écarte un peu plus les cuisses, et pose finalement une jambe sur son épaule, offerte.

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Jeu 20 Aoû - 22:43

Je suis fasciné par sa beauté, que je devine dans l'aube qui se lève et filtre par la fenêtre lointaine de la cuisine et je suis fasciné par son corps qui s'abandonne à mes exigences. Son impudeur à s'offrir à moi me plait immensément et je la récompense d'un autre coup de langue doux, un peu plus prononcé. Je décide d'enlever complètement son inutile culotte que je balance en dehors du pieu. Ce truc ne sert à rien.

Cette fois je prends mon temps pour l'explorer, j'ai envie d'apprendre son sexe par cœur, de savoir encore mieux le faire réagir, de parfaire le plaisir que je peux lui donner. Je teste de baisers, d'attouchements doux ou plus appuyés, de pénétrations lentes. Mes doigts et ma langue semblent jouer sur elle de la musique: la musique de ses gémissements et des encouragements qu'elle me donne. Je suis le chef d'orchestre de son plaisir. Je la sens excitée et sensible, c'est délicieux. Mon goût persiste sur elle et ça aussi j'adore. Elle est à moi, je fais d'elle ce que je veux, j'en éprouve une satisfaction intense. Et quand elle jouit encore, accrochée à moi, je bois son orgasme contre ma bouche. La sensation est indescriptible, je me sens à la fois puissant et émerveillé comme un gosse.

Je reviens me lover contre elle en prenant soin cette fois de ne pas l'écraser., Je passe juste un bars au dessus d'elle. "t'es merveilleuse zlato." Je suis accro à la sensation de ses orgasmes et de son corps qui ondule sous le plaisir. Je suis accro à la douceur de sa peau. Pourtant je baille et mes yeux se ferment d'épuisement. Mon réveil sonne à midi trente, quelques heures de sommeil s'offrent à nous.

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Jeu 20 Aoû - 22:52

Je me découvre, dans ses bras, une insatiabilité que je ne me connaissais pas, mais aussi une capacité à me laisser aller que je ne soupçonnais pas. Je m'abandonne à ses caresses dans une confiance absolue, dans un état de béatitude que je n'ai jamais connu avec aucun autre. C'est lent et doux, je sens le plaisir enfler dans mes reins, refluer avant de monter plus fort, inlassablement jusqu'à ce nouvel orgasme qui m'arrache un cri. Je tremble de tous mes membres, mon ventre se creuse en spasmes délicieux quand il m'attire contre lui, se love contre mon corps. Je suis épuisée, mais repue, emplie de plaisir, de sensations délicieuses, de son odeur, de sa chaleur. Je l'embrasse, encore, d'un long baiser reconnaissant du plaisir qu'il m'offre sans rien attendre en retour, et cette fois c'est moi qui l'enfouis dans le cocon de mes bras. Je le ramène jalousement contre moi, sa tête contre ma poitrine, mes mains dans ses cheveux. Et je le berce de caresses aériennes, guidées par son souffle qui s'apaise, jusqu'à ce qu'on trouve le sommeil, ensemble.

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Slavenko Kovács

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Ven 21 Aoû - 10:28

Je n'ai pas l'habitude de dormir avec quelqu'un. Pas comme ça. Enlacés, collés et je m'éveille soudain avec le réveil avec cette sensation étrange, vous savez un rêve qui dès qu'on ouvre les yeux s'évapore sans rien laisser d'autre que le regret de ne pas s'en souvenir, que c'est important. Mais rapidement, la peau chaude contre moi me distrait et éloigne le rêve dissipé. Le réveil n'a pas sonné, j'estime qu'on doit être autour de midi.

La pièce est inondée de soleil sauf le lit à peu près préservé par les rideaux de la fenêtre la plus proche. La lumière ne m'a jamais dérangée pour dormir et si j'ai mis des rideaux c'est plus pour une question d'intimité vis à vis des voisins de l'immeuble d'en face. Je me redresse un peu pour pouvoir admirer Nina, lovée contre moi. On a tourné durant la nuit sans jamais se lâcher et à présent, je suis dans son dos, collé contre elle, mon érection matinale appuyé contre ses reins. Le désir ne me tourmente pourtant pas, je suis satisfait de l'avoir là, contre moi et de regarder dormir comme un psycho le ferait! Ha ha... Putain qu'est-ce qu'elle est belle ! Ses lèvres au repos forment une petite moue adorable et une mèche de cheveux sombres barre sa joue d'une pâleur délicate. Elle ressemble à une porcelaine. White Snow. Ce surnom lui va si bien.

Mon regard glisse sur ses courbes, ses seins nichés l'un contre l'autre dont j'aperçois seulement un des tétons rosés, que j'ai envie de prendre dans ma bouche. Son ventre que je sais si doux et l'ombre de son sexe entre ses cuisses serrées. Je ne bouge pas, me retenant de la toucher pour ne pas la réveiller. Je me berce de sa beauté et du désir qui enfle dans mes reins, c'est une sensation nouvelle. Mes habitudes sont plutôt de baiser rapidement avec la.e premier.e qui me plait suffisamment pour assouvir mes envies. Mais Nina, j'ai envie d'elle d'une façon qui me dépasse. Je sais que ce n'est pas que sexuel même si ça se traduit comme ça.

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Ven 21 Aoû - 11:28

Encore une fois, je passe une nuit étrange, où les mauvais rêves ne me font que brièvement frémir, rapidement chassés par des songes plus doux qui ont tous son odeur. Ma nuit est bercée d'images érotiques et de sa voix rauque dont je me repasse les mots en boucle, inconsciemment. Sans que je m'en aperçoive, mon corps cherche le sien à tout instant, je suis sa chaleur, son odeur, je m'accroche à sa peau, me blottis contre lui tout au long de la nuit. J'ai ses bras autour de moi, constamment, ses mains posées sur mon ventre, mon buste, ma hanche, et ça me va. Je n'ai jamais, je crois, si bien dormi qu'entre ses bras.

J'ai peur du noir alors je ne dors jamais dans l'obscurité totale, mais il fait quand même bien jour dans son appartement, le soleil ne tarde pas à baigner la pièce malgré les rideaux. Dans un long soupir, je cligne des yeux, et je tends les bras pour m'étirer. Je n'ai pas oublié l'endroit où je me trouve, ni l'homme allongé à côté de moi, mais je me sens bien et j'ai relâché la tension, baissé ma garde. Je croise son regard quand j'ouvre les yeux. Grave, intense, deux orbes sombres qui me dévorent et le rose me monte aux joues. Je susurre dans un sourire. Salut...

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Sam 22 Aoû - 14:34

Elle s'éveille, superbe, s'étirant comme un chat paresseux et mon cœur fait un drôle de bond dans ma poitrine avant de battre un peu plus vite. une ombre de sourire éclaire mon visage quand je croise son regard et je réponds sur le même ton "salut" Je la couve du regard quelques secondes encore avant de me pencher pour cueillir sur sa bouche un baiser tout en caressant ses cheveux. Je suis heureux de ce moment tout simple.
Elle s'est tournée vers moi et nous somme face à face. Je me contente de caresser l'angle de sa mâchoire et son cou, avec amour, presque de la dévotion. "T'as bien dormi ?"

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Sam 22 Aoû - 14:41

Nos lèvres se nouent avec une tendresse qui ne m'est pas familière, et je soupire de bien-être contre ses lèvres. Déjà, mon corps se tend vers le sien, en quête de sa chaleur, troublée par ses gestes si doux, et son regard qui l'est tout autant. Dans un sourire, j'acquiesce, en appuyant doucement ma joue contre ses doigts. Mmh, à merveille... Et toi ? On ne s'est pas cherchés cette nuit. Du moins si, nos corps l'ont fait, mais nous étions trop fatigués, l'un comme l'autre, pour une étreinte nocturne. Je suis reposée, comme je le suis rarement, et la sensation de plénitude qui m'a envahie m'effraierait presque si je n'étais pas aussi bien dans son lit. Je roule sur le dos pour m'étirer encore, et je demande, mutine. Tu m'offres le café ?

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Sam 22 Aoû - 15:10

Un café ? Mieux que ça scre. Un petit dej'!

Quand je bosse, et même généralement, je ne fais que deux repas par jour. Au réveil et juste avant d'aller au taf. Aussi je mange copieusement pour ce qui correspond au matin pour moi. Laissant tranquille le désir visible que suscite la vue de son corps alangui, je me lève, nu comme un ver, évoluant sans gêne dans l'appartement. La nudite na jamais été un problème pour moi. Ma vie ne m'a jamais permis d'être pudique.

En quelques pas j'ai rejoins la kitchenette où j'allume la cafetière. J'entrouvre le fenêtre et j'allume une clope tout en sortant une poêle, des œufs du frigo et un reste de haricots sauce tomates. J'ai également du jus de fruits et du pain. Tout en préparant des œufs brouillés, je demande "je sais pas ce que tu manges le matin..."

Je sors des tasses pour préparer deux grands cafés et des assiettes. Machinalement je checke l'heure et si j'ai des appels sur mon téléphone avant de m'atteler à remplir copieusement nos écuelles.

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Sam 22 Aoû - 19:03

Je fronce le museau, parce que je n'ai pas pour habitude de manger le matin. Il faut dire que j'ai un appétit de moineau, sur lequel mes émotions influent énormément, et comme en règle générale je dors très mal... Je me réveille sans avoir faim. Cette fois, pourtant, j'ai bien envie de me laisser tenter. Parce que c'est lui qui le prépare, parce que j'ai bien dormi, parce que je suis bien dans ses draps, que je n'ai pas envie de partir tout de suite. Alors je hausse un sourcil, une lueur amusée dans le regard. « Je suis plutôt sucré... Mais je mange de tout, je prendrais ce qu'il y a. » Je le précise parce que de là où je suis, je vois qu'il sort des oeufs et des restes du frigo.

Je me redresse dans le lit, pour m'adosser au mur, le drap seulement ramené sur mes jambes, ménageant à peine ma pudeur. Battant des cils, je plaisante. « Je me laisse servir, hein, j'ai entendu qu'on servait le petit-déjeuner au lit, ici. » Moi, je suis trop occupée, pour l'heure, à le bouffer du regard. Parce que oui, j'ai bien vu son érection matinale, et je veux croire qu'elle est un tout petit peu due à moi, et pas seulement à une réaction naturelle !

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Slavenko Kovács

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Dim 23 Aoû - 21:18

"Ah sucré je note. J'achèterais ce qu'il faut en faisant les prochains courses. Je suis salé, même le matin." Je ne courre ni après les gâteaux, ni après le sucre en général et comme le petit déjeuner est plus mon déjeuner en fait, j'ai mon frigo rempli en conséquence. Tandis que je cuisine, après ma clope, j'avale un shot de vodka pour me réveiller, habitude que j'ai depuis des années.

J'ai un sourire en coin quand elle réclame le petit déjeuner au lit et comme je n'ai pas de plateau, je prends la planche à découper pour faire office. C'est comme ça que je lui amène café, jus d'orange et ses œufs avec des haricots et du bacon cuit en dernier. Je lui dépose près d'elle avant d'aller chercher mon café et mon assiette. Personnellement, je ne trouve pas ça pratique de bouffer au pieu, mais j'ai plus envie d'être avec elle et de lui faire plaisir que satisfaire mon côté trop pragmatique. Je m'installe près d'elle et je lui demande avec une sollicitude empreinte d'un peu d'anxiété. "ça ira quand même zlato ?"

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Date de naissance : 05/08/1995

Occupation : Cambrioleuse, elle fait également office de petites mains pour la Bratva

Localisation : Anciennement à The Hole, récemment transférée à Glenmore Plaza.

Nina Sykes

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Dim 23 Aoû - 21:49

Je sais, il a dit qu'il voulait que ce soit sérieux entre nous, mais je ne peux m'empêcher d'être surprise, d'avoir cet espèce de picotement dans le bide, quand il parle de la prochaine fois, de faire des courses pour moi, sous-entendant qu'on se reverra. J'ai si fermement cru qu'on ne se verrait plus que j'ai toujours un peu de mal à assimiler cette idée. Je ne sais pas quoi lui dire, parce que je ne suis pas habituée à ce genre de choses, parce que je ne sais pas ce que c'est, être dans une relation avec quelqu'un. Alors je me contente de hocher la tête dans un mince sourire, qui illumine mon regard.

Il m'apporte le petit-déjeuner et je récupère la planche à découper, bien trop garnie pour mon petit estomac. « Mh, c'est presque parfait, 8/10, la prochaine fois y aura du chocolat et t'auras un 10. » Je me fends d'un sourire amusé, et me tends vers lui pour chiper un baiser léger à ses lèvres. « Merci. » J'évite de le coller, alors je ne me cale pas entre ses bras comme j'aurais pourtant envie de le faire, et je tâche de me concentrer sur le petit-déjeuner, notamment sur le café. « Qu'est-ce que tu fais, aujourd'hui ? »

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Slavenko Kovács

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Dim 23 Aoû - 22:08

huit sur dix, c'est pas si mal pour de l'impro Kovács. Du chocolat, faut que pas qu'j'oublie. Je la gratifie d'un sourire et je m'essaye à boire mon café en le tenant de la main gauche, pour pouvoir caresser son dos de la droite. Je suis pas trop mauvais pour me servir de ma mauvaise main. Après une gorgée, je coince la tasse entre mes cuisses en tachant de ne pas me brûler, et j'attaque mon assiette généreusement servie. Entre les bouchées, je donne mon emploi du temps à Nina "Aujourd'hui, je dois partir à 15h d'ici pour me rendre à Rikers voir mon frère Dominik. On est vendredi et le weekend c'est quasi réservé aux familles, femmes et enfants, c'est plus chaud d'avoir un rendez vous alors j'y vais le reste de la semaine, mais pas le samedi-dimanche. Et comme je bosse à 18h00, c'est tendu, c'est pas à côté Rikers. Je prends une Zipcar, mais c'est quand même une heure de route avec les bouchons. Mais jusque 15h, j'suis libre... Tu reviens cette nuit, srce? C'est quoi ton programme à toi?" Je dois avouer que c'était agréable de rentrer et de la trouver dans mon pieu. je vais y prendre goût facilement.

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Lun 24 Aoû - 10:49

Ses mains s'égarent sur ma peau et si je ne me retenais pas un peu, j'en ronronnerais de bien-être. Contrairement à lui qui engloutit son repas, je picore comme un oiseau, et j'attends d'avoir terminé mon café pour attaquer le bacon et les oeufs, que je grignote religieusement, en découpant de petits morceaux. « Tu vas le voir tous les jours ? En dehors du week-end, du coup. » Je trouve ça beau, qu'il prenne le temps de rendre régulièrement visite à son frère en prison, je n'imagine pas la solitude que l'on doit ressentir, à se trouver derrière les barreaux, loin de ceux qui nous sont chers. Et c'est là qu'une fois de plus, les liens du sang me surprennent, et me manquent également.

A sa demande, je secoue doucement la tête dans une moue d'excuse. « Non, pas cette nuit, j'ai un rendez-vous tôt demain matin, pour tenter d'avoir enfin l'électricité chez moi. » Je ne vais pas venir dormir ici pour qu'il arrive à 6h et qu'on ne passe qu'une heure ensemble avant que je doive repartir. Ce qui me fait d'ailleurs penser. « Oh, au fait, j'ai un ami qui arrive à New-York dans deux jours, pour une semaine. C'est... Je ne sais pas, comme mon frère ? On s'est rencontrés à l'orphelinat, il habite encore en Louisiane. Mais du coup, je vais être peu dispo... »

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Slavenko Kovács

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Lun 24 Aoû - 22:02

"j'essaye en semaine, sauf quand j'ai des trucs à faire ou que y a plus de place. Le mercredi c'est chaud par exemple, l'jour des gosses. Mais j'y vais plusieurs fois par semaine, ouaip." Ça me semble naturel d'aller voir Dominik et pas uniquement rapport au business qu'on doit monter ensemble, moi dehors et lui dedans. C'est mon frère autant que s'il était de mon sang.

J'accuse la déception en deux vagues, d'abord celle pour cette nuit, puis celle pour les jours à venir. Je grimace en abandonnant mon assiette pas encore vide. Je me penche sur elle pour appuyer mon nez sur son épaule. "Du coup... on s'voit quand ? avant que ton ami se pointe ?" Ce qui est vraiment con, c'est que je ne bosse pas en début de semaine et que c'est justement ces jours là où elle est prise.

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Lun 24 Aoû - 22:10

La déception que je lis dans son regard me surprend et me broie le cœur. À mon tour, j'abandonne mon plateau plus loin sur le lit, pour pouvoir l'enlacer. Avant qu'il vienne, oui... Et quand il sera là, si tu veux sortir avec n... Ma phrase s'interrompt lorsque je me souviens que nous avons décidé de garder notre relation secrète pour le moment, pour notre sécurité à tous les deux. Une ombre passe dans mon regard, la même déception qui assombrissait le sien quelques instants plus tôt. Ma main remonte doucement dans ses cheveux, et je me penche pour embrasser sa joue. On se voit dès qu'il repart, d'accord ? Je ne peux même pas lui proposer de venir, je viens d'emménager dans un studio, on va sûrement devoir pioncer ensemble avec Thomas, il n'y a malheureusement pas la place pour trois... Surtout que lorsqu'on est ensemble avec Slavenko, on a les mains baladeuses.

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Slavenko Kovács

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Lun 24 Aoû - 22:42

Je ne crois pas que j'avouerais là tout de suite que ça me pèserait de ne pas la voir durant trois jours. J'veux pas passer pour un mec trop collant non plus, parait que ça fait fuir les gonzesses. Mais comme elle se fait tendre, je ravale ma déception et j'esquisse un sourire. J'essaye de ne pas me projeter trop loin, je la verrais sans doute demain, c'est le principal "ok, alors on s'voit demain après-midi avant que j'aille au taf, et après que ton pote soit reparti. Tu passes chez moi ? "

Au passage, j'en profite pour enlacer sa taille en lâchant complètement mon petit déjeuner. je me penche pour embrasser ses hanches, ses reins, ma main posée sur son ventre. Bon Dieu, elle ne sera pas dans mon lit la nuit prochaine et je ressens déjà un manque certain. Je soupire avant de sourire d'un air goguenard "bon, on a encore deux heures devant nous alors, j'espère que t'as fini de déjeuner, srce."

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Lun 24 Aoû - 22:55

Je secoue doucement la tête. Il arrive dans deux jours, on peut se voir demain après-midi... Et le jour d'après. Ce n'est pas trois jours sans se voir, c'est une semaine, et moi aussi ça m'inquiète déjà, l'idée de ne pas le voir pendant si longtemps. Cette fois, j'acquiesce dans un sourire. Je passe chez toi. Son appartement, même si petit, est définitivement mieux que le mien et j'aime autant le rejoindre ici où tout porte son odeur. En plus, ce n'était pas désagréable de me glisser dans son lit en attendant qu'il me rejoigne. Ses mains errent à nouveau sur ma peau, et je délaisse tout à fait mon plateau. Il ne m'a pas encore touchée, ce matin, j'en ai soudain douloureusement conscience et je frémis sous ses caresses. Mmh, j'ai terminé... Et pour appuyer mes propos, je tends un bras pour enlacer ses épaules, ramener son visage vers le mien et nouer mes lèvres aux siennes. Mon corps se réchauffe instantanément, et j'enroule une jambe autour de sa cuisse pour le ramener contre moi.

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Lun 24 Aoû - 23:37

J'ai zappé que c'était une semaine, autant dire que ma déconvenue sera cruelle. Mais pour le moment je suis focalisé sur le fait qu'on va se voir deux fois avant et qu'en ce moment même elle est dans mon lit et dans mes bras. Je préfère aussi qu'on soit ici, non pas territorialisme mais parce que son nouvel appart' est sordide. Ici au moins c'est clair et avec les murs colorés, c'est même gai. Dans la lumière du matin, la peau de Nina se nimbe de teintes chaudes et rougit sous mes baisers.

Je relève le visage pour son baiser et comme elle s'enroule autour de moi, je la pousse sur le dos dans le lit au risque de renverser les plateaux et le reste de la bouffe mais je n'ai rien à cirer. La passion m'emporte et je me moque du reste, il n'y a plus que Nina et ses baisers, Nina et son corps, sa chaleur et l'amour fou qui m'anime. Ma langue se mêle avidement à la sienne, mes mains glissent sur sa peau, mon corps se colle au sien, l'écrase. Je soulève sa cuisse un peu plus haut pour venir me caler en elle d'une simple poussée, tout émoustillé que je suis par sa seule présence depuis ce matin.

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Mar 25 Aoû - 8:20

Je m'étonnerais toujours de la rapidité avec laquelle nos baisers, nos caresses s'enflamment sans prévenir. Un instant on est là, discutant sagement, et la seconde d'après sa bouche cherche la mienne avec une fièvre qui me fait trembler. Son corps se fond dans le mien, et je m'accroche à ses cheveux comme j'ai déjà pris, en si peu de temps, l'habitude de le faire. Je tâche d'accompagner ses mouvements, mais la position me restreint trop et je finis par le faire basculer sur le dos, la surprise m'aidant à inverser les rôles. Mes jambes enserrent les siennes, et je cherche ses mains pour y nouer mes doigts, bloquer nos mains emmêlées de chaque côté de sa tête. Voûtée sur lui, ma bouche sur la sienne, je prends le relai, cherche ses hanches des miennes, en mouvements langoureux qui hérissent ma peau en chair de poule.

J'essaie de repousser l'instant où la tension sera trop forte, mais inévitablement le rythme s'accélère bien malgré moi, la brûlure de mes reins s'intensifie, et je cherche son corps plus fort, jusqu'à l'orgasme qui me fauche. Je m'effondre sur son corps chaud, en nage, le souffle court et le coeur battant à tout rompre.

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