Fight Club || Slavina

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Fight Club || Slavina

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Date de naissance : 05/08/1995

Occupation : Cambrioleuse, elle fait également office de petites mains pour la Bratva

Localisation : Anciennement à The Hole, récemment transférée à Glenmore Plaza.

Nina Sykes

A smile made for war

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Lun 3 Aoû - 21:59

Fight Club

03 août ; 23h55

Juchée sur des talons aiguilles cent fois trop hauts, je ne parviens tout de même pas à surplomber la foule qui s'amasse autour du ring improvisé, tant cette dernière s'avère dense. Ce n'est pas la première fois que j'assiste à un combat clandestin, mais je n'en ai jamais vu à New-York et surtout c'est la première fois que j'ai un rôle à jouer dans l'un d'eux. L'organisateur est un ami, et son bookmaker lui a fait faux-bond pour la nuit. Il a jugé que d'avoir une jolie fille pour attirer les billets verts serait peut-être une chance, et je n'ai pas su le lui refuser. Il y a un monde fou, et dans ce coin-là de la ville, plus encore dans un quartier pareil, nous sommes certains de ne pas être dérangés par la flicaille.

Un joint généreusement dosé coincé entre les lèvres, je me penche pour noter sur un calepin le nom des parieurs. Certains ont l'intention de se battre, mais ils sont rares, la plupart d'entre eux se contenteront d'observer les combats. Je tâche aussi de les organiser, de noter le nom de ceux qui souhaitent s'inscrire mais à mesure que la soirée avance, les choses sont de plus en plus décousues et bientôt se jettent dans la fosse des types qui n'ont pas pris la peine de s'annoncer avant. Ca n'a pas d'importance, ça n'empêche ni les paris, ni la consommation... Et je crois que la jupe ultra-courte que je porte n'est pas tout à fait étrangère à l'affluence de types qui s'entassent devant moi.

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Date de naissance : 12/04/1982

Occupation : Agent de sécurité au Black Out

Localisation : The Hole ou au Black Out

Orientation sexuelle : Bisexuel

Slavenko Kovács

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Lun 3 Aoû - 23:10

Je suis de repos jusque demain soir et après avoir réussi à me rendormir ce matin et soigner ma gueule de bois, je me suis éveillé en début d'aprèm pour être à l'heure des visites de Rikers. Et ce soir, je me fais une virée au TNT parce qu'il y sont organisé des combats nocturnes que m'a fait découvrir Kristina. A présent, j'y vais de temps en temps, pour tromper l'ennui ou quand le besoin de me défouler se fait sentir. Ou parce que j'ai une cible précise, comme ce soir. D'abord, accoudé au bar, je bois une vodka bon marché qui me fait grimacer. Elle n'est même pas à la bonne température, j'achève de me rincer la bouche avec l'alcool avant de le cracher par terre.

D'ici, je ne vois même pas le bookmaker, il est submergé de monde. A mon tour, je sors une liasse de dollars et je m'approche. Je veux m'inscrire et je parie toujours sur moi-même, une petite superstition familiale. Quand je fends la foule, jouant habilement des épaules pour me frayer un passage, je me retrouve nez à nez avec la voisine de ce matin. J'ai oublié son nom ou alors elle ne me l'a pas dit. Je souris chaleureusement de la voir ici, toujours aussi court vêtu "Hé salut. deux fois dans la journée, troisième fois j'te paye un verre." Dis-je selon l'expression consacrée. Je tends la main pour lui filer le rouleau de cent dollars soigneusement enroulé. "J'veux me battre contre le grand black là-bas, là-bas. Celui qui a le tatouage Money Over Bitches sur le torse. Je mets 100 sur moi."

Je ne m'attarde pas parce qu'une fois ma transaction passée, je me fais rapidement refoulé par la foule avide de passer à son tour ses paris. J'oublie la jolie brune pour me concentrer pour le moment où viendra mon tour. Je connais quelques gars ici, avec qui je discute en regardant d'un œil les combats qui se déroulent avant le mien, en attendant que mon tour vienne.

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Mar 4 Aoû - 5:07

La silhouette qui fend la foule à grands renforts d'amples mouvements d'épaules, il faut dire qu'il a la carrure pour, me revient aussitôt, et je hausse un sourcil, surprise de le voir ici ce soir. Je note son inscription dans un sourire en le nommant le bulldozer sur ma liste, et je prends son pari. Mh et si tu gagnes c'est moi qui te paies un verre. Étant donné ses réflexes et ce que j'ai appris sur sa sœur, je suis curieuse de le voir se battre, je pense que ça peut valoir le détour. Son combat contre Bob n'étant prévu que dans trois tours, je continues à prendre les paris avant de trouver quelqu'un pour me remplacer le temps d'une rixe. De là où je suis, je peine à voir les combats et à me concentrer sur ces derniers et c'est toujours Mason, le type qui ce soir me sert plus ou moins de garde du corps, qui me donne les résultats. Mais ce combat-là, je veux le voir.

Je fends la foule à mon tour, d'une manière bien moins bourrine et plus agile, profitant de ma silhouette frêle pour me glisser entre les corps jusqu'à un container. D'un mouvement souple, je me hisse au sommet, et me fais une place à côté d'une autre nana. De là, j'ai une vue imprenable sur le ring, et c'est au tour du bulldozer d'entrer en scène. Le slave, je l'ai deviné à son accent, ôte son tee-shirt et je le bouffe des yeux quand il dévoile son torse certes couturé mais foutrement dessiné. Ok, ce mec me plaît grave et je ne crois pas que ce soit un crime, mater un peu n'a jamais fait de mal à personne !

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Slavenko Kovács

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Mar 4 Aoû - 9:27

J'ai pratiqué un peu tous les types de combats à mains nues, et pas toujours dans des styles très catholiques. Ici c'est un jeu, si un mec crève sur le ring, c'est par accident, les meurtres restent assez mal vus et les règlements de comptes de cet acabit se font dans les ruelles sombres alentours ou lors de soirées spectacles très particulières organisés pour des spectateurs friqués et avides de pognon. Sinon, les bookmakers et les managers d'écuries clandestines n'ont pas envie de voir leurs gagne-pain crever comme des merdes.

J'ôte mon tee-shirt comme le veut la coutume, dévoilant ainsi les ravages de ma dernière mission. L'arbitre - un bien grand mot - fouille mes poches de treillis et vérifie mes rangers. Y a des petits malins qui ont déjà planqué des armes blanches sur eux pour truqués les combats. Je fais machinalement craquer mes cervicales, roulent des épaules en jaugeant silencieusement mon adversaires. J'ai un sourire narquois à la longue chevelure emmêlée en dreadlocks, sourire qu'il voit. Il m'interpelle violemment de ces mots inutiles "Je vais t'enlever ton sale petit sourire blanche-neige, tu vas bouffer tes dents le slave" Je me contente de cracher par terre d'un air détaché juste quand le combat peut débuter.

L'adrénaline rushe avec le premier coup de poing que je me prends dans la gueule, comme un bleu. Autour de moi, le bruit semble s'estomper mais je sais que c'est un effet de ma concentration. Effet tunnel. Je ne devrais pas craindre une attaque extérieure mais je n'aime pas la sensation d'être privé d'une partie de mon environnement. Le temps que je me ressaisisse j'encaisse d'autres coups, les absorbant à l'endurance. Un goût métallique de sang me vient dans la bouche. La foule hurle, la foule hue, le black jubile, excité de sa réussite et revient à la charge. Cette fois j'esquive, passe dans dos et assène en retour de son attaque un violent coup de poing qui le fait vaciller.

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Mar 4 Aoû - 9:36

Je ne crois pas avoir déjà observé un combat avec tant d'attention. D'ordinaire je ne les regarde que d'un oeil, me fiant aux acclamations de la foule, trop occupée à boire ou à danser pour m'y intéresser. Mais ce soir, il ne s'agit pas tout à fait d'une rave, les gens sont surtout là pour les combats en question, et l'ambiance est bien différente des quelques combats clandestins auxquels j'ai pu assister par le passé. Et puis ce soir, l'un des deux hommes dans la fosse m'est familier. Je ne connais toujours pas son nom, et je ne sais pas grand chose de lui, si ce n'est qu'il bosse pour les Raffaeli et qu'il ramène de beaux mecs dans son pieu avant de les jeter comme des malpropres une fois le jour levé. Mais voilà, nous vivons dans le même immeuble pourri, dans le même quartier glauque, et après avoir manqué de me démettre l'épaule en m'éclatant contre un mur -je n'exagère jamais- il m'a tout de même offert un café.

C'est donc naturellement que je l'encourage, j'ai d'ailleurs parié sur lui moi aussi avant de me hisser sur le conteneur. Je serre les mâchoires, silencieuse, chaque fois qu'il se prend un coup, clignant des yeux parce que ce n'est jamais une vision très agréable. Et puis je siffle, quand il semble reprendre l'avantage, comme s'il avait enfin pu assimiler son environnement, comme s'il avait eu besoin de quelques instants pour appréhender le combat et rentrer dedans.

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Slavenko Kovács

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Mar 4 Aoû - 10:02

A partir de là, je fais le boulot, mes coups deviennent plus fluides et s'enchainent, avec la brutalité qui m'est familière. Je ne suis pas quelqu'un qui va chercher à esquiver à tout prix, je préfère encaisser si ça me donne une ouverture pour fracasser mon adversaire en retour. Autant avec un fusil de sniper en main, c'est le calme qui prédomine, autant je me bats - selon Kristina - avec la délicatesse d'un rouleau compresseur. Mes coups portent, économes de gestes et précis : une ranger trouve un genou pour le broyer jusqu'à ce que je réussisse à faire tomber le black au sol.

A genoux sur son torse, tout mon poids l'empêchant de respirer, je pose ma main sur son cou et serre en me penchant. Il suffoque, me regarde avec des yeux exorbités comme un poisson hors de l'eau. De la main il fait signe qu'il abandonne mais je n'en ai pas tout à fait fini avec lui. L'arbitre me hurle que j'ai gagné et de le lâcher, mais je n'obtempère pas. Je me penche vers le black, remonte sa tête vers moi en le serrant à la gorge. L'arbitre vient essayer de me faire lâcher le black c'est juste au moment où je glisse à celui-ci "C'est de la part de Dominik." De la tête, je lui fracasse le nez. Je me relève aussitôt, me dégageant de l'emprise de l'arbitre. Je sors du ring pour aller ramasser mon tee-shirt et le passer sur mon visage en sueur et plein du sang de mon adversaire.

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Mar 4 Aoû - 10:07

La situation dégénère, sans que je comprenne bien quand ni pourquoi, mais je vois dans les gestes du slave la même rage sourde, silencieuse, qu'il employait tout à l'heure à convaincre gentiment notre visiteur de ne plus remettre les pieds chez nous. Je ne sais pas d'où elle sort, je sais seulement qu'elle s'exprime avec une froideur qui me glace le sang. Il a la détermination de ceux qui n'ont rien à perdre, et rien n'est plus dangereux qu'un homme qui sait se battre sans perdre le contrôle. Je ne tarde pas à descendre de mon perchoir, si bien que lorsqu'il sort du ring, couvert de sang, je suis déjà de l'autre côté, à l'attendre.

J'ai récupéré au passage un verre de vodka, mon métier m'a appris à être particulièrement observatrice et j'ai vu qu'il en buvait dès le réveil, et je le lui tends quand il relève la tête, restant savamment à distance pour qu'il ne me prenne pas une fois de plus pour un ennemi et tente de m'immobiliser.

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Slavenko Kovács

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Mar 4 Aoû - 10:47

Je jette mon tee-shirt dégueulasse sur mon épaule et je me rapproche assez pour entrer dans son espace et prendre le verre qu'elle me tend. Son parfum me parvient, sucré, presque surprenant pour une fille aussi piquante. Un sourire intrigué aux lèvres, je la détaille de pied en cap. C'est pas tous les jours qu'une jolie fille m'offre un verre. "merci" Je l'avale cul sec, grimaçant quand l'alcool brulant passe sur la coupure de ma langue. Putain que ça fait du bien. "donc comme ça, tu ouvres les portes ET tu joues les bookmakers ? T'as plus d'une corde à ton arc à c'que je vois. C'est marrant de te recroiser ici"

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Mar 4 Aoû - 12:32

Il ne semble ni effrayé, ni surpris de ma présence et je me détends un peu, lui abandonne son verre dans un sourire. Mh, c'est la première fois, je rends service à un ami. Si je ne m'en sors pas trop mal, c'est surtout que ce n'est pas très compliqué, en réalité. Je ne saurais dire pourquoi mais je n'ai pas envie de l'abandonner tout de suite, aussi je propose en jetant un regard en arrière. Si tu me tiens compagnie une demie-heure, je te trouve une vodka digne de ce nom. Je darde mon regard sur lui, curieuse, pas certaine qu'il accepte, qu'il n'ait pas mieux à faire d'autant que je ne sais pas tout à fait ce que je lui propose. Je ne peux pas encore filer, il reste quelques paris à prendre avant que l'arène ne soit laissé à des combats bien moins encadrés, et j'ai promis de rester jusqu'au bout. Ensuite, Mason prendra le relais, s'il veut prendre les paris à son tour, mais ce n'est plus de mon ressort.

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Slavenko Kovács

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Mar 4 Aoû - 12:53

Je ne réponds pas tout de suite, la dévisageant encore pour essayer de percer ses intentions derrières ses mots. Que je croise cette fille deux fois dans la journée alors que je ne l'avais jamais vue avant, qu'elle soit non seulement ma voisine mais aussi ici, je trouve ça si surprenant que je me méfie un peu.

Je jette un regard en arrière, en direction du groupe de black dont je viens de démonter leur chef. C'était un petit avertissement à cause des misères que leur groupe fait subir à Dominik en taule, le message devrait être compris, mais ça peut encore dégénérer en sortant. Leurs attitudes laissent à penser que non, ils vont en référer au dessus d'abord.

Je reviens à la fille et je lui souris, plus détendu "ok, je dis rarement non à une bonne vodka, mais seulement si tu me dis ton prénom" Et accessoirement, j'ai mes dollars à récupérer.

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Mar 4 Aoû - 14:14

Il hésite un instant et je hausse un sourcil, amusée. Que risque-t-il à boire un verre avec moi ? Je n'ai même pas d'arrières-pensées salaces, en plus, certes il me plaît physiquement mais croyez-moi je sais me tenir et surtout trouver un homme séduisant ne me donne pas forcément envie de lui arracher son froc ! Comme il finit par accepter, méfiant, j'esquisse un sourire en me présentant. Nina. Et toi, en-dehors de Bulldozer, tu as un prénom ? Je veux savoir si j'ai visé juste ou non, en partant du principe qu'il est slave. J'ai fréquenté beaucoup de monde, de toutes origines, et je suis plutôt douée pour reconnaître les accents, le sien ne sonne pas tout à fait russe, mais il a des fins rocailleuses dont je ne determine pas tout à fait la source.

Puisqu'il me suit, je l'entraine à ma suite vers mon comptoir improvisé, un bidon d'huile retourné sur lequel j'ai foutu le carnet. Les sous, eux, c'est à Mason que je les ai confiés, et il fronce les sourcils à me voir revenir accompagnée. Je reprends la main, donne leur pognon aux gagnants qui viennent le réclamer, Bulldozer compris, mais ça se corse un peu pour les perdants. Un perdant, en particulier, qui ne semble pas accepter que je ne veuille pas lui rendre sa mise.

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Slavenko Kovács

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Mar 4 Aoû - 14:37

Nina, silencieusement, je fais rouler des deux syllabes dans ma tête comme pour les tester. Elles lui vont parfaitement et ça me tire un sourire fugace. "Bulldozer ?" Je secoue la tête encore plus perplexe et à la fois amusé qu'elle m'ait donné ce drôle de surnom. Je fais remarquer, pince sans rire, l'amusement au fond des prunelles "j'm'appelle pas du tout comme ça.... Slavo, je m'appelle Slavenko, mais Slavo ça fait l'affaire."

Je me laisse entraîner par Nina, puisque Nina il y a et mes yeux se rivent sur ses hanches, la courbe de ses reins. Oh, je suis loin d'être le seul à mater ses jambes élancées perchées sur ses talons qui la font onduler admirablement. Si ça ne tenait qu'à moi, c'est pas vers bidon que je l'amènerais... Mais à ce que j'ai compris, ce n'est pas une pute qu'on paye et dans un soupir je bride ma libido née de l'adrénaline du combat. Je vais quand même pas me mettre à bander pour un joli p'tit cul qui ondule. Pourtant, son odeur persiste, me donnant envie de fourrer mon nez contre son cou. Si elle m'invite prendre un verre, j'me demande quelles sont mes chances...

Je récupère mon fric que je fourre dans une poche de mon treillis. A la place j'en extirpe un paquet de clopes qui a salement morflé du combat. Un type s'échauffe et je le regarde de travers tout en glissant la cigarette entre mes lèvres. Placé à coté du bureau improvisé, je n'interviens pas tout de suite, laissant la bookmakeuse faire son job mais le type devient envahissant, insistant en tentant de s'imposer physiquement. Ça me gave brusquement quand je le trouve soudain trop près d'elle. Je fais un pas en avant, bloquant l'espace entre elle et lui sans dire un mot alors que je rive un regard noir et fixe sur lui en avertissement silencieux.

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Mar 4 Aoû - 15:10

J'ai une lueur dans le regard, à la fois surprise et ravie, d'apprendre son prénom. Je ne l'ai jamais entendu auparavant alors je le répète, comme pour m'en imprégner. Slavenko. Je ne veux pas lui donner de surnom, pourquoi le ferais-je quand les syllabes de son prénom roulent si bien sous mes lèvres ? C'est assurément un nom étranger, slave, et je ne suis pas peu fière d'avoir visé juste. Ça te va mieux que Bulldozer, c'est certain.

Je ne m'inquiète pas du type qui se fait insistant, parce que je sais que Mason veille d'un œil et qu'il interviendra si les choses dégénèrent. Seulement il discute de son côté avec une fille et il est possible qu'il soit quelque peu distrait. Il n'a d'ailleurs rien le temps de faire, quand le parieur s'approche de moi, un peu trop près, Slavenko intervient avant même que j'ai eu le temps de le voir bouger. J'ai un mouvement de recul, une fois de plus surprise de sa réactivité... Malheureusement elle ne fait que rendre le parieur plus agressif encore, parce qu'il a un violent mouvement d'épaule pour dégager le slave. Hey!

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Mar 4 Aoû - 15:34

J'aime bien la façon dont elle prononce mon prénom, avec toutes les syllabes. Personne ne m'appelle comme ça, sauf Ezther, quand j'étais môme et qu'elle voulait me parler "sérieusement" autant dire que j'aimais pas du tout ça. Mais elle, elle a une autre façon de le dire, une intonation plaisante. J'ai un léger rire "Tout le monde serait d'accord avec ça. Pas mal validerait Bulldozer"

Je devine la réaction du type avant même qu'il ne me cherche pour de bon. Il a les yeux trop brillants de coke, il a vu trop combats et la fille est bien trop sexy pour qu'il ne cherche pas à redorer son ego. Comme ça me saoule, j'abrège brutalement. On sait tous où ça va mener, inutile de tourner autour du pot. Je lui assène un coup de machette franche dans la glotte et tandis qu'il se prend la gorge, les larmes aux yeux, je le choppe pour une clef de bras. C'est fait presque gentiment, j'le jure. J'ai l'habitude, au Club, j'ai pas le droit de faire trop de mal aux clients et j'ai fait pareil . "La demoiselle t'as dit que y a rien pour toi ici." Alors que la scène a attiré l'attention de l'ange gardien de Nina - un type qui s'appelle Mason que je connais vaguement de vue - je peux me permettre de raccompagner l'importun vers la sortie. "Rentre chez toi vieux, tu te referas un autre jour quand ta chance tournera"

Je prends le temps de respirer l'air plus frais du dehors et je remets mon tee-shirt. J'ai perdu ma clope dans l'altercation et j'en reprends une.

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Mar 4 Aoû - 15:50

OK, je ne suis clairement pas assez familière avec ce genre de choses parce que j'écarquille les yeux dans un hoquet de surprise quand il frappe le type à la gorge, lui coupant le souffle. Mason choisit ce moment pour se ramener et il m'écarte tout à fait de la scène, tandis que Slavenko raccompagne l'intrus à l'extérieur. Je cligne des yeux, encore un peu auurie. C'est bon rentre chez toi Nina, je vais terminer. Moi, j'ai déjà le regard vers la sortie où le slave s'est échappé, et je ne me fais pas prier pour partir dans sa direction. C'est un éclair de rappel qui me fait faire brusquement demi-tour. Je passe par le bar, et comme je connais le barman je récupère une bouteille de vodka Belvedere. Elle n'est pas gelée, mais elle est fraîche alors il faudra bien qu'on s'en contente.

J'ai maintenant une idée très précise de ce que je veux, et je rejoins Slavenko à l'extérieur. Il patiente, une cigarette à la main, et j'enroule mes doigts autour de son poignet, du côté de son bras libre. Suis-moi. Et comme pour l'inciter à le faire, j'agite brièvement la bouteille de vodka sous son nez. Je n'ai plus envie de rester ici, j'imagine que lui non plus, en revanche je ne suis toujours pas décidée à rentrer chez moi. Une lueur mutine dans le regard, je l'entraîne vers l'arrière du bâtiment, et l'escalier qui mène jusqu'au toit de l'usine désaffectée. Bien-sûr j'ouvre la voie, sans trop me demander s'il me suit ou non. Je suis agile, je n'ai pas peur des hauteurs et je peux monter en n'ayant qu'une main de libre sans problème. Ce n'est pas exactement fait pour, mais on pourra se poser avec une jolie vue sur Brownsville et ses buildings.

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Slavenko Kovács

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Mar 4 Aoû - 16:33

Il se passe à peine le temps d'une clope avant qu'elle ne me rejoigne. Je n'étais pas sur qu'elle se donne cette peine. Y parait que les filles aiment les bad boys mais c'est souvent très différent quand elles nous voient cogner pour de vrai. Mon regard s'éclaire quand elle me rejoint, visiblement, ça lui a pas déplu et elle a une bouteille à la main. Mon souffle se trouve coupé quand elle me saisit le poignet. C'est un petit choc électrique qui va directement dans mon bas ventre et qui littéralement me rend muet. Je la suis et mon cœur s'accélère quand je vois qu'elle nous entraine à l'écart, vers le toit.

Sa silhouette agile se détache dans la pénombre et je la suis sans mal. Une bouffée d'air me frappe en émergeant en haut de l'escalier, il fait vraiment mois étouffant au dessus de la masse écrasante des buildings. Un fois que nous sommes en haut, je tends la main comme pour prendre la bouteille de vodka, mais c'est son poignet que je saisis pour l'attirer vers moi. On dirait presque le geste de ce matin, en plus doux mais tout aussi inexorable et ferme. Je veux gouter sa bouche, sentir son odeur envahir mon espace.

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Occupation : Cambrioleuse, elle fait également office de petites mains pour la Bratva

Localisation : Anciennement à The Hole, récemment transférée à Glenmore Plaza.

Mar 4 Aoû - 16:52

Heureusement que j'ai l'habitude des acrobaties en toutes conditions parce que monter par l'échelle incendie avec des talons aiguilles n'est pas tâche aisée. Mais la vue en vaut la chandelle, réellement. L'entrepôt n'est pas assez haut pour qu'on surplombe les tours de Brownsville, mais il nous permet de prendre un peu de hauteur malgré tout, d'échapper à la chaleur étouffante, et soudain le bruit qui se fait plus lointain nous isole agréablement. J'avais envie de nous extraire de la nasse, mais de rester avec lui. Je le dévore des yeux depuis qu'il m'est apparu, prêt à parier sur lui-même, et je crois que je ne suis pas prête à le laisser repartir. Pas encore.

Je reste malgré tout un peu surprise qu'il s'accroche à mon poignet pour m'attirer à lui, la vision de son amant du matin m'a fait penser qu'il n'était pas de ce bord-là... Je ne sais pas pourquoi l'idée ne m'a pas tout de suite effleurée qu'il pouvait aimer les deux. Sans doute ai-je voulu étouffer dans l'œuf mon attirance naissante. Mais voilà, son corps est trop près du mien et je me tends vers lui sans plus opposer de résistance. La bouteille de vodka se retrouve coincée entre nous, et ma main libre se fige sur sa nuque tandis que je me hisse pour atteindre ses lèvres. Je n'ai jamais été prude, ni très douée pour tourner autour du pot, et je ne sais pas jouer la fausse pudeur, feindre l'innocence. Il me plaît trop pour que j'y parvienne. Alors c'est presque avec fureur que ma bouche trouve la sienne, et que je mêle nos souffles.

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Occupation : Agent de sécurité au Black Out

Localisation : The Hole ou au Black Out

Orientation sexuelle : Bisexuel

Slavenko Kovács

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Mar 4 Aoû - 22:38

Avec ses talons elle reste plus petite que moi mais j'ai juste à me voûter pour que nos bouches se fracassent l'une contre l'autre. Elle envahit si brusquement mon espace et mes sens que j'en aurais presque le tournis. Le désir forme une boule incandescente et lourde dans mon ventre, explosive.

Rien n'est calculé, ni l'urgence du baiser alors que sa frénésie trouve écho en moi, ni ma main qui glisse sous sa micro jupe pour venir pétrir une fesse ferme dont la sensation me file la trique. Je la presse contre moi plus fort pour sentir la chaleur de ses seins contre moi alors que je ne lâche pas sa bouche, l'embrassant avec entêtement. J'ignore la bouteille froide qui me rentre dans une côte, uniquement obnubilé par l'envie furieuse de baiser.

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Nina Sykes

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Mar 4 Aoû - 22:46

Il me rend mon baiser avec la même fièvre et c'est tout ce dont j'avais besoin pour oublier mes craintes. Dieu que j'aime lorsque les choses sont ainsi : fluides, naturelles, presque... Instinctives ? J'ai le sentiment que c'est de cela qu'il s'agit, d'un désir qui tient de l'instinct, de l'animal, quand nos corps se trouvent, quand sa main glisse sous ma jupe. Je regrette presque de porter une culotte en cet instant, mais ma jupe était bien trop courte pour que je me permette de ne rien mettre dessous, et je n'ai pas pour habitude de me balader les fesses à l'air.

Je gronde en me pressant plus fort contre lui, tente de me hisser plus haut ce qui n'a pour effet que de faire remonter le tissu sur mes cuisses. La bouteille me gêne mais pour la poser quelque part je devrais m'éloigner de lui, et je n'en ai pas l'intention. Je le repousse jusqu'à ce que son dos heurte un mur, à côté de la porte qui mène à l'entrepôt sans doute, et ma main libre file entre nos corps, en quête de la ceinture de son pantalon. Je le sens dur, déjà, sous ma paume, à travers le tissu de ses vêtements, et cette seule sensation suffit à embraser le sang dans mes veines, à inonder mon ventre de chaleur.

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Mar 4 Aoû - 23:20

on empressement et sa fougue me plaisent furieusement et attisent le désir, Mon sang bouillonne, pulse, je le sens battre frénétiquement en moi. Mon dos heurte le mur sans que j'émette une seule protestation. Je retrousse sa jupe, glisse mes doigts sous sa culotte pour venir écarter les globes fermes de ses fesses et la toucher. Je mords sa bouche ou c'est elle qui mord la mienne, peut importe, c'est bon. Elle me libère et je gronde de cette part de frustration qui s'envole quand je me retrouve dans sa main. A peine elle m'effleure que je me bande complètement, douloureusement.

Je fais céder sa culotte dans un craquement avant d'inverser les rôles pour venir l'appuyer contre le mur. Je la soulève dans mes bras, je la porte, ses pieds noués dans mon dos, mes mains sous ses fesses, elle est légère comme une plume. Aussitôt, je l'empale sur moi, jurant en serbe quand je m'enfonce en elle, brûlante. Je bute au fond de son ventre et sans marquer de pause, j'entame un va et vient rude, marqué. Je gronde contre sa bouche, haletant de plaisir. Sur le point de jouir, le rythme s'intensifie, plus brutal, plus saccadé aussi et alors que la vague monte dans mes reins, mes doigts s'incrustent dans la chair de ses cuisses. "Jebote"

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Mer 5 Aoû - 9:05

Qu'on se le dise, j'ai beau être habituée aux coups d'un soir, c'est malgré tout très rare que les choses aillent si vite. En temps normal, on fait au moins semblant de flirter, de se chercher, de se tripoter avant de passer à l'acte. Je ne sais pas comment il est possible que les choses aient escaladé à ce point, moi-même je ne comprends pas pourquoi le désir brûle si fort dans mes reins, pourquoi je suis déjà trempée, pourquoi je m'accroche à lui avec une telle avidité.

Je sais seulement que je suis déjà brûlante et terriblement prête à l'accueillir, lorsqu'il inverse les rôles pour s'enfoncer en moi jusqu'à la garde, dans un mouvement d'une facilité déconcertante qui m'arrache un gémissement marqué. C'est tout de suite trop bon, trop fort, nos corps s'accordent avec un naturel confondant et la fulgurance du plaisir me coupe le souffle. Mais ça reste malgré tout trop rapide pour que j'ai le temps de jouir, et il vient avant que j'ai le temps de le rejoindre. Je couine contre ses lèvres, haletante, et je crois qu'il peut sentir à la façon dont je dévore sa bouche malgré le souffle qui nous manque à tous les deux que je ne suis pas tout à fait repue.

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Slavenko Kovács

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Mer 5 Aoû - 9:22

Je grogne, mes muscles tremblent sous l'effort pour rester stable malgré le plaisir qui déferle. Ce n'est pas facile de rester lucide dans un moment pareil. Je veux enfouir mon nez dans son cou, respirer son odeur affolante mais elle dévore ma bouche.

Je la sens qui cherche encore à onduler contre moi et plutôt que de me saouler - la patience c'est pas mon fort avec les coups d'un soir dans des lieux obscurs - je ne sais pas pourquoi, ça m'excite. Je la tiens toujours coincée contre le mur, elle a ses bras autour de moi, ses ongles qui griffent mon dos par dessus mon tee-shirt trempé.
Je déplace une main prudemment, de façon à ne pas la lâcher et je la fourre entre ses cuisses. J'ai glissé hors d'elle, et mes doigts se trempent dans sa chaleur, elle palpite et ça me fait gronder brusquement, sans trop savoir pourquoi. Répondant aux mouvements de son bassin, je la baise fort, ma bouche sur la sienne, suspendu au langage de son corps, à la vague que je sens monter autour de mes doigts. J'ai une envie folle de la sentir jouir contre moi, autour de moi.

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Mer 5 Aoû - 10:11

Je sais qu'il est susceptible de s'écarter maintenant qu'il a obtenu ce qu'il voulait, mais s'il y a une chose que j'ai apprise c'est que si on veut jouir il faut savoir le réclamer. Et mon corps le fait très bien, en se pressant contre le sien, en mordant sa bouche, en haletant contre ses lèvres. Et il comprend très bien le message, puisqu'il se dépend de moi, pour mieux remplacer sa queue par sa main. J'en gémis de soulagement contre sa bouche, mes doigts se plantent dans sa nuque et je me tends vers lui, avide. J'abandonne sa bouche, à bout de souffle, plonge sur sa gorge contre laquelle je murmure. Putain oui... L'excitation est telle qu'à ce rythme il ne me faut pas longtemps pour venir à mon tour, enfin, dans un feulement, tous mes membres tremblant contre lui.

À bout d'énergie, je dénoue mes jambes avec difficulté, reposant les pieds au sol pour retrouver un équilibre devenu terriblement précaire. Je relâche sa peau, en réalisant que j'ai probablement laissé la trace de mes ongles quelque part sur sa nuque, sous les mèches sombres de ses cheveux.

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Mer 5 Aoû - 10:30

Son exclamation m’électrise comme une prolongation de mon propre plaisir quelques minutes plus tôt. La sentir se contracter autour de mes doigts me procure une sensation de puissance un peu étrange si j'y réfléchissais. Pour le moment, j'en profite juste. Ma main se retire, délicieusement mouillée et ses jambes se reposent au sol. Je la tiens délicatement à la taille comme si j'avais soudain peur qu'elle ne se brise. Je cille en revenant à la réalité après cette baise inattendue.

A présent, je suis presque gêné de l'intensité de notre étreinte. Bah c'est surement du au fait que je me suis battu juste avant, avec un enjeu qui me dépassait. En plus Arabella est en vacances en Italie et ça faisait un petit temps que je m'étais pas tapé une nana. Je me détache de Nina et m'écarte, silencieux, pour rajuster mes vêtements débraillés. Je souris en voyant qu'elle n'a pas lâché la bouteille de vodka durant tout ce temps et je la récupère pour la déboucher. Coincée entre nous, oubliez, l'alcool s'est réchauffé, mais c'est correct.

"T'es venue comment ? J'ai ma caisse, si tu veux que j'te dépose." Je peux être courtois, faut pas que j'oublie que c'est ma voisine !

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Mer 5 Aoû - 11:44

Je suis un peu groggy, sonnée de ce qu'il vient de se passer, de la fulgurance du plaisir, du désir, de notre étreinte toute entière. J'en ai d'autant plus conscience qu'il s'écarte de moi presque aussitôt pour se rajuster, me laissant une désagréable sensation de froid. Je fais de même, réalise au passage que j'ai perdu ma culotte dans la bataille, et je rabats donc la jupe sur mes fesses nues. J'ai son odeur, partout sur ma peau et je ne suis pas sûre que je saurais me tenir si on se retrouvait dans la même voiture seuls tous les deux. Je décline dans un sourire, replace une mèche de cheveux. Je suis venue en moto. Je ne suis pas du genre à m'attarder après le sexe, et je crois que le fait que ça ait été si intense me pousse plus encore à partir. Je le laisse avec sa bouteille de vodka, claque un baiser rapide sur sa joue et m'éloigne. « A la prochaine, Slavenko. »

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