Je hausse un sourcil, pas bien sur de comprendre la question. "tu passes quand tu veux. Je bosse au black out quatre jours semaines, du Jeudi au Dimanche de 18h à 06h00. De temps en temps, j'fais des extra." mes pensées vagabondes au rythme de mes mains sur elle. J'effleure ses seins, son ventre, je m'arrête parfois avant de reprendre mon vagabondage trente secondes plus tard. c'est aussi agréable que lorsqu'elle caresse mon torse. "de toute façon, quand je bosserais plus pour les italiens, j'devrais changer de logement." Impossible de rester dans cette nasse italienne. Je suis pas suicidaire. Dommage, j'aimais bien le côté psychédélique de cet appartement, faudra que j'en cherche un autre. P'tre bien que je logerais à l'hôtel en attendant de trouver quelque chose de correct.

"ok zlato, donne le moi avant que je parte bosser, quand je refoutrais la main sur mon gsm" Je n'ai pas envie de bouger et mon téléphone est trop loin pour que je le récupère. "tu veux que je t'aide à défaire tes cartons srce ?"

Je souris amusé avant d'embrasser son épaule d'un baiser rude et de bouger "hum hum j'ai compris. De toute façon si je me bouge pas le cul je suis foutu d'être en retard et c'est vraiment pas le moment de me faire remarquer. Et t'as raison cet appart est merdique." Je me décolle d'elle pour ramasser mes affaires, enfiler mon futal et mes godasses. Je sors mon téléphone." c'est quoi ton numéro moj andjeo? "

Une fois le numéro enregistré, je finis de me rhabiller en mettant mon tee shirt et en tachant de discipliner mes cheveux en arrière. Je sors mon trousseau de clefs, lui en file deux qui correspondent aux serrures nouvellement posées depuis qu'elle a ouvert ma porte avec trop de facilité. "tiens srce". Fais gaffe à pas les paumer OK ? " je reviens vers elle pour l'attirer puissamment contre moi et trouver ses lèvres. Je demande, pas encore parti que déjà en manque" On se voit quand dušo?"