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I want you bad ⛬ eden&alexei
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Alexei Basharov
Messages : 74
Date de naissance : 22/06/1980
Alexei Basharov
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Ven 21 Fév - 20:48
Sa main maintient ce sein avec fanatisme, brûlant alors qu’elle le sent se durcir sous sa caresse avide et égoïste, ne le voulant nulle part ailleurs que sous sa paume. L’avoir entendue juger les « rares » trop nombreuses transporte Alexei aussi sûrement que les lignes blanches qu’il a inhalées sur ce corps divin. S’accaparer ce dernier, revendiquer cette femme toute entière suffisent déjà à le rendre avide et possessif, mais l’entendre le vouloir sien n’a pas de prix réveille déjà en lui le désir qui n’a jamais disparu.

Alors crie plus fort. La provoque-t-il au creux de son oreille. Nul doute alors qu’elle les surpassera toutes, si ce n’est déjà fait. Rien que ces cuisses qui s’écartent au passage de sa main ont un effet démesuré sur le moscovite dont le corps se tend déjà, quelques secondes, avant qu’il ne laisse échapper un rire l’aidant à mieux encaisser cette tension qui ne s’affaiblira décidément jamais entre eux. Je préfère le terme d’ « ambitieux », lui confie-t-il lorsque ses doigts retrouvent la douceur de son entrecuisse. L’attouchement est ferme, mais bien moins hâtif que quelques minutes plus tôt, ses pulsions primaires ayant déjà été magnifiquement assouvies. De haut en bas, la pulpe de ses doigts prend désormais le temps de parcourir la chair au gré de la moindre réaction sous eux, première ligne de cette ambition qui lui occupe entièrement l’esprit. S’il n’avouera pas tout l’impact qu’elle a et laissera sur lui, il lui en montrera néanmoins une bonne partie et compte bien s’évertuer à lui rendre la pareille.

Malgré ses pupilles dilatées témoignant de son état second, la cocaïne n’est pas sa source première d’inspiration ce soir. Sa came est plus puissante et a des relans de paradis, ses seins remplissent magnifiquement bien le creux de sa main et sa croupe semble faite pour se blottir contre son membre à nouveau dressé, réclamant ce que ses doigts pénètrent finalement, du plus profond qu’ils le peuvent. Sa princesse est, ce soir, sûrement pour lui la plus dure des drogues, le rendant plus dépendant à chaque nouveau contact, lui faisant totalement perdre la notion de la réalité, l’entraînant dans une transe qui ne lui fait voir rien d’autre qu’elle, ne rien sentir d’autre que son corps contre lui, ne rien entendre d’autre que son souffle se mêlant au sien, s’échappant en buée dans le froid de la nuit qui les recouvre. Et je n’arrêterai pas tant que tu seras encore en état de crier. Ce soir, il est totalement sous son emprise mais, comme le pire des camés, il en redemande.
Eden Hamilton
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Eden Hamilton
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Dim 23 Fév - 20:07
Elle claque de la langue contre son palais, secouant doucement la tête. Et la voix de s'élever, mutine, empreinte d'un brin d'arrogance, plus feinte que réelle. « Mmh, il me semble que c'est à toi, de me faire crier plus fort...  » Malheureusement pour son orgueil, le slave semble terriblement bien parti pour y parvenir. Il suffit qu'il la frôle, que son souffle caresse sa peau, que son odeur envahisse son espace vital pour que ses sens s'éveillent déjà, que ses résistances tremblent, comme prêtes à céder. « Ambitieux ? J'hésitais à dire arrogant... » Leurs joutes verbales ne font pourtant que masquer l'évident désir qui, déjà, renaît entre eux, chauffe les reins de l’Écossaise, alourdit son souffle et rougit ses joues. Ce même désir dont il lui semble percevoir les frissons, sur la peau masculine qui réchauffe la sienne. 

La blonde se mord la lèvre en fermant les yeux, réprimant avec peine le gémissement qui menaçait de lui échapper, lorsque les doigts du slave se glissent plus précisément entre ses cuisses. Une seule idée hante ses pensées, à présent, celle de ne pas rendre les armes trop tôt, de ne pas lui permettre de crier victoire trop rapidement. Dans le creux de ses reins, elle sent le membre qui se tend à nouveau, réclamant l'écrin de ses cuisses qu'elle tremble déjà de lui offrir. Il suffit, pourtant, qu'il plonge ses doigts en elle, emplisse son ventre à nouveau, pour qu'un geignement lui échappe. Sa main se crispe sur le bras tatoué, sans qu'elle sache s'il s'agit d'une invitation à poursuivre, ou d'une supplique pour qu'il cesse. Cruel jeu que celui qui semble perdu d'avance. 

Elle n'a, pourtant, nulle intention de se rendre si facilement. A regrets, elle s'arrache à l'étreinte masculine, échappant aux bras qui l'enserrent pour pivoter et lui faire face. Sa poitrine se dresse de froid, à l'instant même où la main de l'amant la délaisse. Son regard rivé à celui du slave, elle glisse à côté de lui, adossée à l'autre rebord du jacuzzi, pour passer ses jambes par-dessus les siennes. Elle se libère, ainsi, l'accès au corps masculin, pour qu'il ne soit pas seul à jouer. « Encore... » Murmure-t-elle finalement. 
Alexei Basharov
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Alexei Basharov
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Sam 29 Fév - 22:08
Le souffle chaud du slave s’écrase contre la nuque de la belle entre chaque baiser qu’il y dépose, chaque bouchée qu’il en prend, léchant cette peau salée dont le goût le rend plus affamé encore. Sa main en elle entre et sort tout en la pressant contre sa virilité en manque que son bassin écrase plus encore contre elle. Ambitieux, arrogant, elle peut l’appeler comme elle le souhaite tant qu’elle continue de se donner à lui comme elle le fait si bien, de le rendre aussi fou de son corps comme il l’est maintenant. Son désir pour elle est exponentiel, et la première apothéose qu’elle lui a offerte n’a fait que le rendre désireux d’une seconde, d’une troisième, d’une infinité qui ne les ramènerait jamais à la fade réalité.

Elle lui échappe et la frustration l’envahit autant que la lubricité emplit son regard la suivant évoluer devant lui. Il se damnerait pour ses formes, n’a pas encore conscience à quel point ce sera vrai, le temps passant. Le semblant d’infinité de cette nuit ne lui fait pas prendre conscience du lendemain et d’à quel point son corps entier continuera de la réclamer. Tout ce qu’il est capable de réaliser en cet instant, c’est cette attraction sans précédent qui l’attire incessamment à elle.

Les longues jambes s’étendent sur lui, la vue du corps ainsi alangui se brouillant sous les remous de l’eau bien moins efficace que la tension certaine entre eux pour faire monter la température. Alexei sourit, soulevant l’une des jambes qu’il passe derrière son dos. Encore. En un rien de temps, il se retrouve au dessus d’elle, les mains plaquées sur le rebord du bain à remous, de part et d’autres des frêles épaules qu’il embrassait encore quelques secondes plus tôt. Je sens que je vais aimer ce mot entre tes lèvres. Souffle-t-il contre ces dernières alors qu’il s’exécute. À présent soutenu par sa main gauche seulement, le slave fait courir la droite sur chaque courbe se dressant jusqu’à l’entre cuisse qu’elle réinvestit, possessive, Alexei aussi affamé de ces lèvres que de celles qu’il embrasse dans un grognement d’envie, de désir et du besoin vital de leurs corps en un seul.
Eden Hamilton
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Dim 1 Mar - 16:21

Elle se fait joueuse, mutine, mais il peut percevoir, dans la vibration de son souffle, le léger tremblement rauque de sa voix, les frissons qui dressent sa peau nue, tout le désir qu'il lui inspire. Les souvenirs de l'extase imprègnent encore la chair blanche, langues de feu qui serpentent sous le derme à peine hâlé... Et il suffit, pourtant, qu'il la dévore du regard comme il le fait en cet instant, pour que le désir flambe de nouveau avec violence. Désir qui se concentre soudain, boule incandescente au creux de son ventre, quand le slave renverse la situation, incapable de lui laisser les rênes... La blonde me tirait, pourtant, en prétendant qu'elle ne brûle pas d'envie de devenir un jouet, poupée de chiffon entre ses mains. La jambe fine se replie, sa cuisse venant se presser contre la hanche masculine, en quête de sa chaleur. Eden relève la tête, pour plonger son regard dans celui du tatoué qui soudain la surplombe, lui offrant le poids tentateur de son corps sur le sien.

Il frôle ses lèvres des siennes, y mêle son souffle quand ses doigts reviennent se fondre entre ses cuisses. Elle plaque sa bouche sur la sienne, étouffe un gémissement contre les lippes masculines, son corps se tendant vers le sien. Son bassin se soulève, cherchant déjà la main qui prend possession de son ventre. La dextre vient épouser la nuque de l'amant, pour mieux le ramener vers elle, senestre se portant à la virilité de nouveau éveillée contre son ventre. Avec lenteur, les doigts s'enroulent autour de la queue si ardemment désirée, et la jeune-femme murmure tout bas contre sa bouche. "Encore...?" Ses jambes s'écartent un peu plus fort, pour mieux lui liberer l'accès à ses cuisses, et elle mord sa bouche avant de répéter d'une voix suave. "Encore, encore..." Chaque mot se ponctue d'un baiser, dans lequel sa langue vient laper les lèvres de l'amant, et entre deux soupirs extatiques, sa main s'active autour de sa hampe, éprouvant la queue qu'elle voudrait sentir en elle.
Alexei Basharov
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Lun 2 Mar - 12:57
Elle est devenue son obsession, en une nuit elle habitera les suivantes de son souvenir s'ancrant chaque seconde plus profondément dans l'esprit et dans la chair du moscovite qui prend possession de la sienne, ses doigts plongés en elle se mouvant lentement et précisément. Un son rauque gronde dans sa gorge lorsque les doigts fins et assurés s'enroulent autour de sa verge au supplice. Ses dents se plantent sur la lèvre charnue que sa langue console ensuite, et son corps entier frémit au mot qu'elle souffle et répète contre son visage. Encore. Encore, encore, encore. Pour ne jamais s'arrêter.

Ses reins se hissent et s'affaissent sous la ferme caresse de la belle, remuant l'eau bien mieux que les remous des bulles, faisant déborder le bain qui, petit à petit, lui paraît de plus en plus étriqué. Tu me rends dingue... L'euphémisme est flagrant, l'état dans lequel elle le met dépasse l'entendement, et aucun mot ne saurait en décrire la réelle intensité. Alors il le lui prouve autrement.

Alexei se dégage d'elle dans un baiser si brûlant qu'il lui assure que rien n'est encore fini. Ses mains se plaqua 5 sur les flancs de la danseuse, il la hisse sur le rebord du jacuzzi, lui faisant faire face à l'extérieur, aux lumières de la ville, avant de sortir à son tour pour lui faire face. Leurs corps fument sous la froideur de la nuit hivernale, mais il ne ressent nullement la morsure du froid, bien au contraire. Son regard est empli de braises n'attendant que de s'enflammer à nouveau au contact de ce corps qui lui fait face et qu'il admire, courant de son visage à son giron, jusqu'à son sexe qu'il expose en écartant ses cuisses accueillant ses hanches. Sa queue dressée effleure son bouton délicat de son extrémité, s'y frotte lentement tandis que le slave glisse ses mains sous la coupe de cette inconnue dont il voudrait être à même de gueuler le nom au sommet de cette tour. Enfin, il l'attire brusquement à lui, son sexe pénétrant au plus profond d'elle en même temps que sa langue vient réclamer sa semblable, ses lèvres se plaquant contre celles de sa princesse dans un grondement sonore qu'il ne cherche pas à dissimuler, pas plus que ceux qui lui succèdent à chacun des coups de reins qui la font sienne autant qu'il devient sien. S'abandonner ainsi à une femme ne lui a jamais paru aussi bon.

Eden Hamilton
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Eden Hamilton
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Jeu 5 Mar - 10:00
Chacun des mots qui s'échappe de la bouche du moscovite accélère son rythme cardiaque et raccourcit son souffle. Sa voix rendue rauque par le désir lui fait perdre la raison, hérisse sa chair de frissons et brûle son ventre un peu plus fort. « Et j'ai l'intention de le faire toute la nuit... » Le rendre dingue, encore, lui faire perdre le contrôle, lui faire perdre ses moyens, l'empêcher de réfléchir correctement, abattre ses résistances, comme il a abattu les siennes. Elle le sait, déjà, le sent dans chaque fibre de son être, ce round ne sera pas le dernier. Comment pourrait-il l'être quand il lui semble que sa soif de lui est intarissable ? La perspective de ne plus jamais le revoir après cette nuit ne participe qu'à la rendre plus fébrile encore.

La danseuse échappe un couinement, soudain, tant parce qu'il s'écarte d'elle que parce qu'il la hisse hors de l'eau chaude, laissant le froid mordre sa chair. A l'instant même où il vient lui faire face, la jeune-femme accroche ses bras autour de son cou, pour l'attirer plus près d'elle, sentir à nouveau la chaleur dont il a osé la priver. Sa bouche échoue sur la sienne, étouffant un geignement de soulagement lorsqu'enfin, il plonge en elle jusqu'à la garde. L'idée de jeu la déserte une fois de plus, elle en oublie même qu'elle n'était plus censée crier. Qu'importe qu'il gagne cette manche, après tout, tant qu'il consent à ne pas s'éloigner d'elle, tant qu'il accepte de la prendre encore, et encore.

Les reins de la blonde se meuvent, réclamant les mouvements plus appuyés qu'elle n'ose réclamer de ses mots, sans doute pour ne pas flatter trop fort l'ego mâle qui déjà se targue de la faire hurler. Ses doigts plongent dans la tignasse masculine, relèvent le visage de l'amant pour reprendre sa bouche qui semble lui échapper à mesure que ses grondements s'intensifient. Contre ses lippes, Eden gémit à nouveau. « Encore, encore. »
Alexei Basharov
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Alexei Basharov
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Sam 7 Mar - 15:33
Comment peut-elle lui en faire ressentir autant par le seul contact de son corps contre le sien, de son entrecuisse autour de lui ? C’est pourtant lui qui mène la danse, c’est pourtant loin d’être la première fois qu’il finit la soirée entre les jambes d’une inconnue, qui plus est les pupilles dilatées par la poudre miracle qui le suit où qu’il aille. Et, pourtant, cette femme s’est approprié son être, son corps comme son esprit, l’a à sa merci sans avoir rien fait d’autre qu’être elle.

Ses hanches la percutent dans des grognements toujours plus forts, au rythme des cris qui caressent ses tympans et qui se perdent dans l’air froid de Manhattan. Qu’on les entende, il ne s’en rendrait même pas compte et, quand bien même, cela ne l’arrêterait pas pour autant, tout comme ce couple rencontré dans l’ascenseur ne l’aurait pas empêché d’en refermer les portes pour continuer ce qu’ils ont interrompu. Ça n’aurait été que lui, ils en seraient déjà au quatrième round, si ce n’est plus.
Elle en redemande, et lui ne demande qu’à lui en donner toujours plus. Ce corps qui ondule contre lui, ces seins qui s’écrasent contre son torse, cette croupe qui accompagne ses reins qui l’accueillent en leur sein, tout chez elle l’implore de se donner corps et âme et, sans hésiter, Alexei le fait. Cet abandon total est un fantasme qu’il se découvre et qu’il n’arrivera jamais à oublier, pas plus que cette voix se mêlant à la sienne dans un chant lubrique. Encore, encore...

Princesse, j’ai l’intention de te faire ça toute la nuit...

Ses mouvements s’amplifient, son regard cherche celui de son amante, y cherchant tout ce qu’il veut réussir à lui faire éprouver, tout ce qu’elle lui fait ressentir. Ses mains glissent sous les cuisses qu’il monte, qu’il plaque contre ses flancs pour la pénétrer plus intensément, plus profondément, jusqu’à ce que son sexe disparaisse entièrement entre sa chute de reins, jusqu’à ce qu’il ne puisse rien faire d’autre que de se mordre la lèvre sous l’intensité du plaisir qui guide son corps et embrume son esprit. Dans ce dernier, il n’y a plus qu’elle, la moindre de ses réactions qu’il apprend par cœur, la chaleur de ses seins tendus contre lui, sa moiteur qui humidifie ses cuisses et sa voix qui l’ensorcelle et lui en demande toujours plus. Encore, encore...

Eden Hamilton
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Eden Hamilton
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Lun 9 Mar - 11:18
Cette fois le jeune-femme ne cherche pas à reprendre la main sur leur étreinte. L'heure n'est plus aux jeux, moins encore aux affrontements, et elle n'aspire plus qu'à s'en remettre, corps et âme, entre les mains de celui qui, d'un seul geste, est parvenu à lui faire perdre la raison. Leurs gémissement se mêlent, s'élèvent pour rompre le silence de la nuit, mais à cette hauteur sur la terrasse d'un building new-yorkais, nul ne saurait les entendre. Les doigts féminins se font plus possessifs sur les bras du slave, et si cette fois elle n'y plante pas ses griffes, les mains ne s'y accrochent pas moins douloureusement pour tenter de ne pas tout à fait perdre pied. C'est un crescendo de sensations trop puissantes, qui ne tardent pas à la submerger toute entière. Un nouvel orgasme les fauche de concert, l'obscurité accueillant les feulements de plaisir des amants enlacés, tremblants.

Il suffit, pourtant, qu'il se déprenne d'elle, pour que la morsure du froid se rappelle à sa chair frémissante, et pour que la blonde se mette à trembler contre le corps masculin, dont la chaleur ne suffit plus à la prémunir de la température ambiante. Il suffit que sa peau se hérisse de quelques frissons, pour que l'amant saisisse ce qui la trouble, et les ramène tous deux à l'intérieur. Enfin, le lit accueille leurs corps encore humides de l'eau du jacuzzi, et la jeune-femme s'autorise à reprendre son souffle et ses esprits.

La nuit ne sera pourtant pas plus reposante, et l'aube est sur le point de se lever lorsqu'Eden sombre enfin dans le sommeil. La peau d'albâtre est, partout, rougie par les doigts masculins et la bouche de l'amant, crinière dorée emmêlée d'avoir été malmenée par la poigne masculine. Des heures durant, ceux qui étaient la veille encore de parfaits inconnus se sont découverts, inlassablement, au point de s'apprendre par coeur. Pour l'avoir parcourue inlassablement, la ballerine connaît sur le bout des doigts la peau masculine, et elle serait capable de dessiner les yeux fermés chaque détail du corps tant et tant étreint. Il lui semble garder, partout sur sa peau, le parfum de l'amant, et les traces de son passage.
Alexei Basharov
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Jeu 12 Mar - 20:55
Ses hanches frappent le bassin qui l’accueille, leurs peaux rougissants tant par l’air glacial qui les saisit mais qu’ils ignorent, que par ces contacts répétés, appuyés, passionnés. Le regard du slave ne peut plus se détourner d’elle et si il bouge, c’est pour parcourir ce corps qu’il secoue, celui qui ondule sous lui malgré l’emprise qu’il a sur elle, son torse s’affaissant vers elle jusqu’à ce que ses épaules suffisent à maintenir ses cuisses et à lui offrir le plus profond de son bassin. Sa virilté ne s’en extrait que pour mieux y pénétrer de nouveau, jusqu’à ce que l’insoutenable ne le tende plus encore dans un orgasme qu’amplifier celui de son amante, leurs cris se mêlant l’un à l’autre dans la plus belle des agonies, celle qui engourdit ses membres et lui coupe le souffle, fait pulser son cœur contre le sein qu’il écrase alors qu’il a libéré ses jambes, mais pas son sexe. De longues secondes, il la recouvre, toujours en elle, s’imprégnant de sa chaleur, de son odeur, le visage enfoui au creux de son cou le temps qu’il reprend ses esprits.

L’air glacé l’attaque de plein fouet lorsqu’il se défait de l’étreinte, haletant, chacune de ses expirations s’envolant en fines gouttelettes dans l’obscurité environnante. Sous lui, il voit sa belle frissonner, et il ne lui faut qu’une seconde pour passer ses bras sous ses jambes et dans son dos et la soulever. Sans un mot, sans un sourire tant l’état second lui embrume l’esprit, il rentre jusque dans l’immense chambre au milieu de laquelle trône un lit King size, tout à fait à sa place dans pareil endroit. Il y dépose la jeune femme qu’il rejoint bientôt, ne profitant de cette tendre accalmie que pour reprendre des forces jusqu’aux prochaines apothéoses.


Il leur aura fallu tomber de sommeil pour cesser, enfin, de s’abreuver l’un de l’autre. Ce n’est qu’au petit matin que leurs yeux se sont fermés, et leurs corps endormis s’étreignent dans la lumière matinale qui perce au travers des rideaux. L’aurore éclaire leurs peaux marquées et réveille doucement le slave. Ses yeux trouvent rapidement la belle endormie, leurs corps ne s’étant pas éloignés durant ce court repos, et s’attardent, à nouveau, sur les courbes et les traits de son visage si près du sien. C’est bien la première fois qu’il redécouvre une femme à la lumière du jour, lui qui a la fâcheuse habitude que de s’éclipser à la première occasion. À vrai dire, il ne pensait pas la voir encore là non plus. Soit il l’a trop épuisée, soit elle espérait le revoir au petit matin. Et, des deux hypothèses, Alexei ne saurait dire celle qui lui plaît le plus.

Ses yeux gris l’observent bien trop intensément, son corps s’attarde bien trop longtemps sur ce lit qu’il aurait du quitter dès qu’elle s’est endormie. Au lieu de ça, il imprime ce visage qu’il découvre plus sublime que la veille, ce corps plus désirable encore et cette peau toujours aussi douce sous ses doigts qui dégagent une mèche de cheveux obstruant le tableau avant de descendre son bras, son flanc, puis sa cuisse qu’il caresse machinalement. La nuit a beau être terminée, il a le sentiment que tout ne fait que commencer.
Eden Hamilton
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Lun 16 Mar - 9:50
Ce sont les mains douces glissant sur sa peau qui, peu à peu, raniment ses sens et la tirent du sommeil. Durant les premières minutes, la jeune-femme ne remet pas tout de suite les événements de la veille, ne se doute pas encore de la personne éveillée à ses côtés. Il faut quelques instants à sa conscience pour s'éveiller à nouveau, quelques instants pour que les souvenirs de la nuit mouvementée et bien trop courte viennent danser derrière ses paupières, diffusant de doux frissons le long de sa peau. Les doigts qui dansent sur son derme, effleurent son ventre, ses cuisses, lui tirent dans ce demi-sommeil de minces soupirs, où se mêlent le désir jamais réellement éteint, et le plaisir de sentit la chaleur se répandre à nouveau dans son corps. Sa chair s'anime, se gondole de frissons, son ventre se creuse sous le brusque afflux de chaleur, et Eden finit par ouvrir les yeux.

Ses paupières s'ouvrent sur le visage sérieux, presque concentré, du tatoué, perdu dans une contemplation énigmatique. Elle pourrait sourire, sans doute, si le désir qui s'empare d'elle n'était pas déjà si sérieux, si impérieux. Il est pourtant bien moins urgent que la veille, il n'embrase pas son corps avec violence, ne réclame pas d'être assouvi dans l'instant. C'est peut-être dû au sommeil qui englue encore son corps, mais cette fois la jeune-femme n'aspire qu'à prendre son temps... Peut-être pour profiter encore de celui qu'elle est persuadée de ne plus jamais voir, une fois qu'ils auront tous deux quitté cette chambre d'hôtel.

Eden se tourne légèrement vers lui, et sans un mot lève la tête pour venir chercher les lippes masculines, auxquelles elle vole un long baiser, dans lequel elle perd le souffle. Sa main glisse contre la nuque masculine, le bout de ses doigts remontant dans les mèches blondes de ses cheveux. Elle se presse doucement contre lui, sa poitrine encore nue venant s'écraser contre le torse encré, sa jambe remontant pour passer au-dessus de celles du slave.

Alexei Basharov
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Sam 21 Mar - 11:11
Jamais il n’aurait cru qu’elle serait encore là. Jamais il n’aurait cru qu’il serait toujours là, à faire courir son regard sur les courbes que la lumière du jour lui dévoile enfin dans les moindres détails. Leurs ébats pour le moins houleux les ont marqués à même leurs peaux encore rougies, parfois bleuies, sous leurs étreintes possessives et animales. Les doigts du slaves en effleurent certains témoins, la marque de sa main se retrouvant un peu partout sur le corps de la belle endormie, tout comme celle de ses lèvres et ses crocs lui parsemant la nuque et les épaules. C’est là un tableau dont il se rappellera longtemps et dont il profite encore tant qu’il est encore temps.

Le corps de l’endormie s’éveille avant son esprit, ondulant déjà sous les caresses du moscovite, pourtant bien plus sage que quelques heures auparavant. Ces soupirs qu’elle laisse échapper, ses mouvements sous la seule paume de sa main ont tôt fait de faire se rappeler à lui la douce chaleur du désir qu’elle lui inspire, quoiqu’elle fasse. Mais il reste raisonnable, Alexei, n’est sûrement pas encore suffisamment réveillé pour faire preuve d’autant de brusquerie que la veille, ou peut être est-il encore assez inconscient pour faire preuve d’une tendresse qu’il n’a accordée qu’à une autre, avant qu’on ne la lui enlève. Quelle que soit la raison de la rare douceur dont il fait preuve à présent, qu’elle lui manque depuis qu’il ne peut plus la témoigner à la seule femme qui la lui a inspirée jusqu’à présent ou qu’il soit tout simplement trop éprouvé de cette nuit mouvementée, elle l’anime avec un naturel déconcertant lorsqu’elle ouvre enfin les yeux.

Il la fixe sans un sourire, sans une remarque, mais dans un regard qui en dit long sur cette attirance démesurée qu’il a envers elle, qu’il cherchera sûrement à nier plus tard mais qui prendra très vite le dessus dès qu’il saura avoir une nouvelle chance de la voir. Ses lèvres accueillent celle de son inconnue dans un baiser bien moins fiévreux que ceux qu’ils se sont échangés jusque là, bien plus tendre et plus dévoué encore, à croire que l’envoûtement ne va qu’en s’amplifiant.
Sa main glisse sur la cuisse qu’elle enroule autour de sa hanche, la remontant pour plaquer au mieux son corps contre elle, se laissant ainsi ligoter comme s’il voulait ne jamais pouvoir échapper à cette étreinte, jusqu’à la tirer à lui lorsque, basculant, il l’allonge sur lui, la laissant peser de toutes ses formes sur son torse qui semble sculpté pour accueillir ses courbes.

Ses mains quittent ses cuisses, s’enfouissent dans la crinière blonde hier malmenée, aujourd’hui caressée dans un Bonjour... Qu’il souffle dans un sourire, ce mot qu’elle est la seconde à entendre de ses lèvres, ainsi alanguie. Il paraît anodin, mais il n’en est rien, le moscovite ayant jusqu’à présent toujours fait en sorte de ne jamais avoir à prononcer ces deux syllabes. Il ne lui aura fallu rien d’autre qu’une Princesse pour bousculer ses principes.
Eden Hamilton
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Eden Hamilton
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Dim 22 Mar - 11:14
Chaque instant de cette soirée, de cette nuit idyllique, aura été placé sous le signe de la luxure. Cette dernière imprègne chacun de leurs mouvements, le moindre soupir, le moindre regard. Et même lorsque le désir ne se fait pas urgent, impérieux, il ne peut décemment pas être ignoré. C'est une douce chaleur, qui se répand au creux des reins féminins, inonde doucement son ventre, accélère les battements de son cœur et raccourcit son souffle... Et la jeune-femme refuse d'imaginer, pour l'instant, que toutes ces sensations pourraient également être dues aux nombreux sentiments qui se bousculent en elle, lorsqu'elle croise le regard perçant du slave. Les mettre sur le compte du seul désir charnel, purement physique, rend la situation plus acceptable... Parce qu'il n'est pas naturel, pour elle non plus, d'être encore présente au lever du jour, de n'avoir pas pris la fuite, de n'avoir pas cherché à s'échapper avant que l'autre ne se réveille. 

Pourtant, quand il l'attire ainsi à lui, Eden sait qu'elle ne voudrait être nulle part ailleurs. 

La blonde se laisse entraîner, sans chercher à lutter, lorsque le corps masculin bascule sur le dos, l'invitant à prendre place sur lui, comme elle l'a déjà fait la veille. Ballerine se fait amazone, ses jambes se pressant de part et d'autres de celles du tatoué... Mais ce matin tout est différent. Parce qu'ils ne se jettent pas l'un sur l'autre, parce que leurs gestes sont tendres, doux, et non pas furieux et empressés comme ils l'étaient la veille. Parce que cette façon qu'il a de glisser ses mains dans ses cheveux, doucement, lui serre la poitrine. Parce qu'il suffit qu'il lui dise bonjour, de cette voix rauque et envoûtante, pour qu'elle sente son palpitant se liquéfier dans sa cage thoracique. 

Eden se penche, doucement, pour venir presser ses lèvres sur celles du slave. Leurs bouches se nouent en un baiser lent et langoureux, dans lequel elle boit son souffle, s'en repaît comme s'il pouvait l'aider à retrouver le sien. Son corps se met en mouvement, sans qu'elle cherche à le forcer, et la jeune-femme ondule, lentement, contre le tatoué, sans pourtant chercher à les lier. 

« Bonjour... » Souffle-t-elle tout contre ses lèvres.  
Alexei Basharov
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Mer 8 Avr - 21:42
Si Alexei s'était vu dans pareille situation quelques jours plus tôt, il n'y aurait d'abord pas cru. Puis, réalisant à quel point il a tort, il se serait hurlé de fuir de cette chambre d'hôtel, d'embarquer ses affaires et d'oublier tout ce qui s'est passé. Mais le Alexei présent, celui qui salue son amante au petit matin pour la première fois depuis Maggy, lui est prisonnier des jambes cernant ses hanches, celles qu'il a lui-même placées ainsi pour retrouver la chaude oppression de la ballerine sur lui. Il se maudira sans doute longtemps d'avoir été aussi tendre avec une autre femme, se sentira traître alors qu'on n'attend rien de lui, mais la tentation est trop forte, et la tentatrice ne lui rend pas la chose facile.

Elle ondule sur son corps qui se réveille au souvenir de ce que cette danse lui a fait vivre la veille, celui qui se met à bouger avec elle sans qu'il n'ait son mot à dire, qui s'échauffe sous l'alchimie évidente de ces deux êtres ne s'étant que trop bien trouvés. Il ne lui a toujours pas donné son nom, pas plus qu'il ne connaît celui de la belle. Il n'a pas la moindre idée de ce qu'elle fait pour vivre, elle pourrait se vendre à d'autres hommes qu'il ne la désirerait pas moins. Parce qu'elle génère en lui un désir jamais ressenti et un magnétisme qu'il lui est impossible de refouler, une affection naissante, apparue de nulle part et totalement absurde qui lui fait apprécier la douceur de cet instant. Leur baiser est calme et serein, les boucles blondes coulant d'entre ses doigts sont douces, comme cette peau que ses mains descendent enfin caresser lorsqu'il lui fait reculer doucement le visage. Le regard acier du slave admire les traits de sa danseuse à la lumière du jour, les reflets de ses iris, la moindre de ses expressions. Son entrejambe durci sous le bassin de la belle témoigne de son envie d'elle, mais il prend son temps, étire ce dernier pour ne jamais avoir à sortir de cet endroit. Si, la veille, il cherchait à rentabiliser le temps qui leur est encore compté en prenant possession d'elle autant de fois que leurs corps pouvaient l'éprouver jusqu'à épuisement, ce matin, c'est en prenant son temps qu'Alexei compte savourer leurs derniers instants. T'es encore plus bandante au grand jour. Magnifique, sublime, époustouflante s'approchent tellement mieux du fond de sa pensée, mais le slave n'est pas encore tout à fait prêt à admettre à quel point il est déjà sous le charme, sa seule présence dans ce lit à cette heure-ci étant déjà bien suffisante pour le moment. J'ai bien fait de rester.
Eden Hamilton
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Eden Hamilton
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Dim 12 Avr - 18:30
Ce n'est déjà plus un secret pour la blonde : le tatoué a besoin de parler. De dire tout haut les pensées même les plus viles qui traversent son esprit. Quand Eden est d'ordinaire plus silencieuse, durant ses ébats en tout cas. Et pourtant rien de ce qui émane de lui ne lui déplaît, surtout pas lorsqu'il s'adresse à elle de cette voix rendue rauque par le désir. Alors elle enserre ses jambes des siennes, un peu plus fort, comme pour mieux éprouver de son corps ce que ses mots tentent de lui faire comprendre. Et elle sent, sous son poids, la virilité qui de nouveau se dresse, se gorge de désir pour appeler sa peau. Il serait si tentant de, déjà, répondre à l'appel, mais elle veut profiter, encore, des derniers instants qu'il leur reste à passer ensemble.

Parce que les mots qui échappent au tatoué ne font que confirmer ce qu'elle pensait déjà savoir : il avait l'intention de partir, lui aussi. Exactement comme elle l'aurait fait, si elle n'avait pas été si bien dans ses bras. Et ça signifie sans doute qu'ils seront tous les deux bien trop fiers pour laisser leurs coordonnées à l'autre. Le coup d'un soir en restera donc un, et jamais plus la ballerine n'aura l'occasion de danser ainsi, en amazone sur la carcasse tatouée. Alors elle prend son temps, pour revenir chercher ses lèvres, y prendre le souffle qui commence à lui manquer, hérisser la chair masculine de frissons au gré de caresses pourtant aériennes. Il faut de longs instants, avant qu'enfin elle ne glisse sa main entre eux, pour guider lentement, d'un geste contrôlé, son sexe entre ses cuisses. C'est avec la même lenteur maîtrisée qu'elle s'empale sur lui, expirant un soupir de soulagement lorsqu'il retrouve sa place au creux de son ventre. Un sourire fleurit sur ses lèvres, lorsqu'elle se penche pour susurrer. « Parce que tu comptais partir...? »

Alexei Basharov
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Alexei Basharov
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Dim 26 Avr - 0:03
La pièce est immense, comme la longueur qui les sépare alors qu'elle sort tout juste de la chambre. Elle n'a pas pris la peine de se couvrir, pas plus que lui qui s'attendait, pourtant, à trouver quelqu'un derrière la porte. Durant les longs mètres qu'elle parcourt jusqu'à lui, Alexei dévore la danseuse du regard, ses pieds effleurant le sol, ses hanches qui balancent divinement, ses seins encore tendus vers lui, ses lippes charnues aussi belles pour les mots qui les passent que pour le désir disproportionné qu'elles provoquent à la moindre parcelle du slave où elles daignent se poser. Et ses yeux dont il a pu clairement distinguer les multiples reflets au grand jour n'en finissent pas d'hypnotiser le moscovite. Poésie ou non, il se félicite qu'elle ait choisi de rester pour lui faire don de pareille vision.

Son buste frémit sous les mains qu'elle glisse contre ses flancs pour les poser sur son ventre, si près de sa masculinité encore dressée et toujours humide de son nectar divin. La matinée devra se faire longue, parce qu'il a bien l'intention de prendre son temps à l'honorer une dernière fois.

- Je suis un homme plein de ressources. Lui répond-il sobrement, sans trop en dire. Parce qu'elle n'a pas besoin de savoir qui il est. Parce que c'est loin d'être important.

Alexei se retourne et, sans crier gare, plante ses mains dans les fesses de la jeune femme pour la soulever et nouer ses jambes autour de sa taille. Par automatisme, il la plaque contre la porte d'entrée, dévorant son cou tandis que sa masculinité cherche à la posséder dans des coups de reins ne lui laissant qu'effleurer ce qu'elle convoite. Le désir lui enserre les entrailles, se rappelle à lui comme il était hier, brut, animal, le plante finalement en elle dans un râle bestial et entame une frénésie qui le quitte aussi rapidement qu'elle l'a habité. Son bassin se fige, son corps tremblant enserre celui de sa Princesse dont le cou accueille un soupir brûlant. Elle, nue contre lui, la tentation est trop grande. Et, pourtant, il la libère de sa présence fébrile en elle, la serrant davantage lorsqu'elle lui manque si atrocement. Mais il doit tenir bon. Parce qu'elle en vaut la peine. Parce qu'ils doivent se quitter en apothéose.

Ses lèvres remontent la nuque de la belle, la goûtent pour s'en rappeler ce goût qu'il connaît pourtant par coeur, à présent, puis viennent se coller délicatement sur celles de la danseuse dans un sourire.

- Encore une pièce et je t'aurai eue partout. Partout, dans les limites de cette suite. Serait-il trop ambitieux de vouloir la posséder partout ailleurs ? Combien de fois devraient-ils remettre ça pour couvrir ne serait-ce que New-York ? Jamais assez, c'est une évidence, et si tant est qu'elle le recontacte plus tard.

L'une des mains se glisse sous la croupe de la jeune femme pour la maintenir contre lui, l'autre s'emparant de la table sur roues qu'il pousse jusqu'à une double porte qu'il ouvre. Se dévoile alors une salle de billard à l'éclairage tamisé, la seule source de lumière se trouvant être ce luminaire bas n'éclairant que la table vert émeraude. La simple idée de leurs corps ne faisant qu'un sur le tapis de feutrine commence à faire se tendre le moscovite d'impatience. Pourtant, c'est avec douceur qu'il y assied son amante dans un baiser trop langoureux pour être celui d'une autre. Et, malgré ce qui les attend sur les assiettes d'argent à côté d'eux, c'est d'elle dont il est le plus affamé.
Eden Hamilton
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Sam 2 Mai - 21:07
Un sourire mutin étire les lippes féminines, illumine les traits de la blonde, qui se redresse légèrement, pour échapper au souffle brûlant du moscovite dans son cou. Ses épaules se soulèvent en un léger haussement, signe pourtant qu'il l'a percée à jour, mieux qu'elle ne l'aurait cru, et que l'arrogance qu'elle pensait déceler chez lui la veille n'en était peut-être pas. La plupart des hommes restent persuadés que toutes les femmes sont les mêmes, et que toutes s'accrochent de la même façon au moindre amant ayant le malheur de partager leurs draps. Tous se croient irrésistibles, et restent persuadés de devoir fuir leurs partenaires avant que celles-ci ne s'accrochent à eux comme des mollusques à leurs rochers. Eden, pourtant, n'avait jamais été de celles-là, et contre toute attente, le blond l'avait décelé. 

« Mh, ç'aurait été poétique, de partir sans un bruit avant le lever du jour, tu ne crois pas...? Tu n'aurais eu que mon odeur sur les draps pour t'assurer que ce n'était pas un rêve. »
 
Le plaisir qui enfle dans ses reins n'a, pourtant, rien d'un rêve, de même que la chaleur qui se diffuse sous sa chair et fait frémir sa peau. Un râle de frustration monte dans sa gorge, lorsque les coups retentissent contre la porte, et Eden tend les bras pour s'accrocher au cou du blond, lorsqu'il fait mine de s'éloigner d'elle en la renversant sur les draps. Mais il s'éloigne, malgré tout, sans doute trop désireux de savoir qui vient les importuner quand il aurait pourtant été si simple, si doux, de l'ignorer. Un soupir enfle dans sa poitrine, et la jeune-femme ferme les yeux, en tentant de calmer les battements affolés de son cœur, comme les frissons de son corps qui réclame la délivrance.

Elle se lève, finalement, curieuse, pour traverser la suite et rejoindre le tatoué dans l'entrée. Eden hausse un sourcil, surprise de découvrir le plateau empli de mets sucrés, et vient se glisser dans le dos de son amant. Ses mains glissent sur son ventre, et elle se hisse sur la pointe des pieds pour poser son menton sur son épaule. 

« Quand est-ce que tu as trouvé le temps de commander le petit-déj...? »
Alexei Basharov
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Alexei Basharov
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Lun 4 Mai - 15:25
La pièce est immense, comme la longueur qui les sépare alors qu'elle sort tout juste de la chambre. Elle n'a pas pris la peine de se couvrir, pas plus que lui qui s'attendait, pourtant, à trouver quelqu'un derrière la porte. Durant les longs mètres qu'elle parcourt jusqu'à lui, Alexei dévore la danseuse du regard, ses pieds effleurant le sol, ses hanches qui balancent divinement, ses seins encore tendus vers lui, ses lippes charnues aussi belles pour les mots qui les passent que pour le désir disproportionné qu'elles provoquent à la moindre parcelle du slave où elles daignent se poser. Et ses yeux dont il a pu clairement distinguer les multiples reflets au grand jour n'en finissent pas d'hypnotiser le moscovite. Poésie ou non, il se félicite qu'elle ait choisi de rester pour lui faire don de pareille vision.

Son buste frémit sous les mains qu'elle glisse contre ses flancs pour les poser sur son ventre, si près de sa masculinité encore dressée et toujours humide de son nectar divin. La matinée devra se faire longue, parce qu'il a bien l'intention de prendre son temps à l'honorer une dernière fois.

- Je suis un homme plein de ressources. Lui répond-il sobrement, sans trop en dire. Parce qu'elle n'a pas besoin de savoir qui il est. Parce que c'est loin d'être important.

Alexei se retourne et, sans crier gare, plante ses mains dans les fesses de la jeune femme pour la soulever et nouer ses jambes autour de sa taille. Par automatisme, il la plaque contre la porte d'entrée, dévorant son cou tandis que sa masculinité cherche à la posséder dans des coups de reins ne lui laissant qu'effleurer ce qu'elle convoite. Le désir lui enserre les entrailles, se rappelle à lui comme il était hier, brut, animal, le plante finalement en elle dans un râle bestial et entame une frénésie qui le quitte aussi rapidement qu'elle l'a habité. Son bassin se fige, son corps tremblant enserre celui de sa Princesse dont le cou accueille un soupir brûlant. Elle, nue contre lui, la tentation est trop grande. Et, pourtant, il la libère de sa présence fébrile en elle, la serrant davantage lorsqu'elle lui manque si atrocement. Mais il doit tenir bon. Parce qu'elle en vaut la peine. Parce qu'ils doivent se quitter en apothéose.

Ses lèvres remontent la nuque de la belle, la goûtent pour s'en rappeler ce goût qu'il connaît pourtant par coeur, à présent, puis viennent se coller délicatement sur celles de la danseuse dans un sourire.

- Encore une pièce et je t'aurai eue partout. Partout, dans les limites de cette suite. Serait-il trop ambitieux de vouloir la posséder partout ailleurs ? Combien de fois devraient-ils remettre ça pour couvrir ne serait-ce que New-York ? Jamais assez, c'est une évidence, et si tant est qu'elle le recontacte plus tard.

L'une des mains se glisse sous la croupe de la jeune femme pour la maintenir contre lui, l'autre s'emparant de la table sur roues qu'il pousse jusqu'à une double porte qu'il ouvre. Se dévoile alors une salle de billard à l'éclairage tamisé, la seule source de lumière se trouvant être ce luminaire bas n'éclairant que la table vert émeraude. La simple idée de leurs corps ne faisant qu'un sur le tapis de feutrine commence à faire se tendre le moscovite d'impatience. Pourtant, c'est avec douceur qu'il y assied son amante dans un baiser trop langoureux pour être celui d'une autre. Et, malgré ce qui les attend sur les assiettes d'argent à côté d'eux, c'est d'elle dont il est le plus affamé.
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Dim 10 Mai - 10:03
La danseuse ne songe pas à se plaindre de la tournure prise par les événements. Leur rencontre s'éternise, quand elle pensait quitter la chambre avant même le lever du jour... Il semblerait, pourtant, à l'allure où ils vont, qu'elle soit encore en compagnie du moscovite à la nuit tombée. C'est que les heures se sont étirées paresseusement, tandis qu'ils étaient alanguis dans les bras l'un de l'autre, profitant pleinement d'un sommeil réparateur après une nuit agitée. Il est déjà tard, à présent, le jour levé depuis plusieurs heures, et l'idée de s'éloigner de la peau tatouée ne traverse pas encore l'esprit de la jeune-femme, qui s'amuse pour l'heure à la redécouvrir du bout des doigts. 

« Mmh, j'avais cru comprendre ça, oui... » Répond-elle dans un sourire mutin. 

Les bras féminins retrouvent leur place autour du cou de l'amant, quand il la soulève de terre pour la nouer autour de lui. Chaque baiser-morsure lui est rendu, au centuple, le ventre de la blonde se creusant de désir sans cesse renouvelé, attisés par les mouvements du slave qui se joue d'elle sans jamais la posséder réellement. Sa voix est rauque, lorsqu'elle susurre contre la gorge masculine. 

« Partout ? Parce que tu avais des cases à cocher, c'est ça...? »

Elle s'accroche à lui fermement, tandis qu'il l'emporte jusqu'à la salle de billard dont elle n'avait même pas soupçonné l'existence. Ils étaient trop impatients, la veille, trop avides du corps de l'autre pour réellement prendre le temps de découvrir l'entièreté de la suite. Alexei semble, quant à lui, être coutumier des lieux, ce qui laisse à la jeune-femme tout le loisir de se laisser surprendre. Son regard se fait joueur, pourtant, de même que son sourire, lorsqu'il la pose sur la table de billard. Ca fait trop longtemps, déjà, qu'il joue avec elle, se retire lorsqu'elle voudrait l'implorer de continuer, lui refuse la jouissance sous prétexte de faire durer. C'est à son tour, alors, de s'amuser un peu. Elle s'arrache à la bouche masculine et tend un bras vers le plateau rempli de mets. 

« Je crois qu'on devrait d'abord faire honneur à ce magnifique plateau, mh...? Tu vois, pour reprendre des forces... »
Alexei Basharov
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Lun 18 Mai - 16:53
S'il avait des cases à cocher, ça ferait déjà bien longtemps qu'il aurait dégagé d'ici. Aborder une totale inconnue, check. Se l'envoyer toute une nuit dans une suite luxueuse, check. Qu'il suffise de ça à la lui rendre plus addictive que toute la coke qu'il s'est jamais envoyée, ça faisait carrément pas partie de la to do list, pas plus que de lui laisser ses coordonnées dans l'espoir qu'ils remettront ça. Il pourrait lui signifier la présence de ce petit papier qu'il a glissé dans la même poche que les maigres gains qu'elle a faits la veille, mais ce serait percer la bulle dans laquelle ils sont enfermés depuis plus d'une demi journée eux, et rien qu'eux deux.

- J'en ai peut-être... Lui répond-il dans un rictus moqueur lorsqu'elle évoque ces fameuses cases. Et si c'est le cas je continuerais de te prendre jusqu'à avoir coché tout New York. Et tellement plus loin, mais l'immensité de la grosse pomme laisse déjà bien entendre qu'il ne se lassera jamais de leurs étreintes, fougueuses ou non.

Il a presque oublié la présence des coupelles qui les attendent tant il se perd dans ce énième baiser qu'ils échangent, toujours plus parfait que les précédents, mais jamais suffisants à satisfaire son appétit. C'est elle qui lui rappelle ce qu'il a traîné ici avec eux, séparant leurs lèvres pour le narguer des siennes en désignant le plateau.

- Parce-que tu comptes être plus agitée que la nuit dernière ? Glisse-t-il alors qu'il est venu enfouir son visage dans le cou délicat qu'il couvre de baisers.
Tandis qu'il la maintient contre lui avec une main, l'autre vient retirer les coupelles d'argent qu'il pose à côté d'eux, découvrant les mets qui leur ont été offerts. Sans grande surprise, on y trouve tout et bien plus, et c'est sur une coupelle remplie de morceaux de fruits que se porte le choix des doigts du slave qui se saisissent d'un morceau de pêche qu'ils portent aux lèvres de la danseuse. On fera tout ce que tu voudras, Printsessa.
Eden Hamilton
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Jeu 21 Mai - 16:18
Un rire clair échappe à la jeune-femme, l'engouement du tatoué étant une chose qu'elle suppose assez rare. Il a la carrure des hommes qui n'ont pas besoin de faire beaucoup d'efforts pour que les femmes se jettent à leurs pieds, et le simple fait qu'il ose admettre devant elle son envie de remettre le couvert doit représenter un exploit en soi. Eden se vanterait sans doute de l'avoir rendu accro en quelques heures si la réciproque n'était pas aussi cruellement vraie. Parce que soudain, l'idée de ne plus le revoir, une fois qu'ils auront tous deux passé les portes de cet hôtel, lui est presque insupportable. Sans doute a-t-elle malgré tout bien trop d'ego pour oser réclamer son numéro. 

« Tout New-York, mh ? On a intérêt à être sacrément endurants, alors... »

La blonde secoue doucement la tête, un mince sourire accroché aux lèvres, tandis que la frustration passe dans le regard du moscovite. Il serait trop injuste qu'il soit le seul capable de faire languir l'autre... Elle ferme un instant les yeux, sa peau frémissant longuement sous les baisers qu'il dépose dans le creux de son cou, les réactions de son corps la trahissant bien mieux que tous les sourires arrogants qu'elle pourrait lui offrir. 

« Plus agitée ça me paraît compliqué... »

Il ne cesse, pourtant, de mettre sa patience à rude épreuve, et le coeur de la jeune-femme loupe un énième battement, lorsqu'il l'affuble de ce surnom terriblement plaisant entre les lèvres masculines. La bouche carmine se referme sur le morceau de fruit qu'il y dépose, et la danseuse laisse au passage courir sa langue sur les doigts de son amant, en une caresse plus qu'explicite. Joueuse, toujours, elle tend la main vers lui, pour refermer ses doigts autour de la queue toujours raide qui se dresse vers elle, envieuse. 
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Jeu 21 Mai - 16:57
- Et ça ne serait qu'un échauffement.

L'endurance, avec elle, ne sera jamais un problème. Chaque souffle qui passe ses lèvres charnues, chaque contact électrisant avec sa peau, chaque vibration de sa voix dans les tympans du moscovite suffisent à réveiller en lui plus de désir qu'il n'a jamais eu pour aucune amante sans intérêt. La seule lui ayant jamais inspiré ça n'étant autre que Maggy, il n'est pas encore en mesure de faire de quelconque corrélation entre les sentiments qu'il a pour cette dernière, et cette attirance déraisonnée envers la danseuse dont les lèvres s'ouvrent pour laisser le morceau de fruit juteux y entrer avant que sa langue curieuse ne vienne goûter les doigts restés posés là.

- T'aurais-je épuisée ? Au moins autant qu'elle ne l'a épuisé à lui, espère-t-il, bien que ça n'ait pas été suffisant pour faire taire ce brûlant besoin d'elle contre lui et de lui en elle.

Le slave se tend, serre davantage la danseuse contre lui tandis que sa main prend place sur sa joue. Son pouce caresse doucement les lippes carmines d'où perlent quelques gouttes de nectar que le fruit a laissées là et dont la langue du moscovite remonte la trace sucrée, dans une lenteur consciencieuse. Le doigt s'invite alors entre les lèvres pour venir caresser cette langue téméraire et apprécie la douceur de cette nouvelle bague qu'elles forment autour de lui, mieux que n'importe quel or, n'importe quel autre diamant. Et celle qu'elle fait de sa main autour de sa virilité le raidit de tout son être avant qu'il ne l'imite, glissant la sienne entre leurs corps pour venir caresser le bouton rosé dont il a appris les moindres faiblesses.
Eden Hamilton
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Mar 26 Mai - 11:56
Il semble tellement sûr de lui que le palpitant de la danseuse s'emballe un peu plus fort, à chaque mot prononcé par le tatoué. Et pourtant, elle peut déjà imaginer les scènes qui suivront, des rendez-vous volés aux quatre coins de New-York pour se retrouver au creux de ses bras. Elle qui, la veille encore, s'imaginait pouvoir partir avant le lever du jour, n'envisage plus désormais de ne jamais le revoir. Comment pourrait-elle tenir, quand elle sait déjà que son visage assombri de désir hantera chacun de ses songes dans les semaines à venir ? Quand il suffit qu'il pose les mains sur elle pour que sa peau s'électrise, parcourue de frissons que son souffle n'a de cesse d'amplifier.

Mmh, totalement épuisée... Mais ne t'en fais pas, je reprends des forces, là... Répond-elle dans un sourire mutin.

Elle ne saurait, d'ailleurs, rester éloignée de lui trop longtemps. Son corps réclame le sien depuis la seconde où elle a ouvert les yeux sur son visage, en s'éveillant ce matin. Un long soupir vient mourir contre les lippes du moscovite, quand il se fait vil à son tour, glissant une main entre les cuisses fuselées de la jeune-femme. En réponse, la main féminine se fait plus possessive autour de sa queue, entamant des vas-et-viens dont la lenteur doit le frustrer autant qu'elle. Le corps de la blonde se cambre légèrement, sa poitrine venant se presser un peu plus fort contre le buste de son amant tandis qu'elle souffle dans un gémissement.

Il ne tient qu'à toi de mettre un terme à ce supplice, tu sais...?
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